On a tous une petite revanche à prendre avec l'école. En fait, j'en connais beaucoup qui ont de grosses revanches. D'après le conférencier barbare, Oussama Amar, il semblerait que le numérique pourrait venger pas mal de potaches qui se sont ennuyés à l'école.
On connaît l'efficacité de certains cours. Quand on additionne le temps passé sur des bancs de collège et lycée à ânonner le B-A-BA de La langue de Shakes-peare (ou de Goethe, de Cervantès...) et qu'on connaît le résultat, on s’effraye. Il se pourrait donc que cette ère du numérique promette une plus grande efficacité, un meilleure utilisation du temps, une école ouverte sur la vie comme le souhaitait Maria Montessori ou Les libres enfants de Summerhill. Qui sait ?
On peut aussi y voir un immense risque de régression. Faites-vous votre opinion...