- Christine Angot, Un amour impossible (Flammarion)
- Isabelle Autissier, Soudain, seuls (Stock)
- Nathalie Azoulai, Titus n’aimait pas Bérénice (P.O.L)
- Olivier Bleys, Discours d’un arbre sur la fragilité des hommes (Albin Michel)
- Mathias Enard, Boussole (Actes Sud)
- Nicolas Fargues, Au pays du p’tit (P.O.L)
- Jean Hatzfeld, Un papa de sang (Gallimard)
- Hédi Kaddour, Les Prépondérants (Gallimard)
- Simon Liberati, Eva (Stock)
- Alain Mabanckou, Petit Piment (Seuil)
- Tobie Nathan, Ce pays qui te ressemble (Stock)
- Thomas B. Reverdy, Il était une ville (Flammarion)
- Boualem Sansal, 2084 (Gallimard)
- Denis Tillinac, Retiens ma nuit (Plon)
- Delphine de Vigan, D'après une histoire vraie (Lattès)
Soit, pour mesurer la présence des différentes maisons d'édition, trois romans parus chez Gallimard, autant chez Stock, deux chez P.O.L. et Flammarion, un chez Albin Michel, Actes Sud, Seuil, Plon et Lattès. Soit quinze titres, dont aucun chez Grasset (par exemple, mais pas tout à fait au hasard). Je n'ai pas tout lu - la moitié, si je compte le demi (mais éblouissant) Boussole dans lequel je suis pour l'instant. Mais je peux dire déjà combien les romans de Christine Angot et d'Alain Mabanckou m'ont déçu, sans surprise pour la première nommée (car, non, elle n'a pas changé autant qu'on le dit ici ou là), à mon grand étonnement pour le deuxième (l'impression qu'il a oublié d'écrire son livre). Pas de favori pour l'instant, j'attends d'en avoir lu davantage...