On verra bien. Il y a déjà suffisamment de mécanismes inconscients d’autocensure à gérer quand on produit une œuvre romanesque. Si en plus, on doit s’occuper de ça, on ne s’en sort plus. D’ailleurs, au moment où j’ai écrit les scènes avec Debray, il n’était pas au jury. Et puis, de toute façon, je ne suis pas d’accord avec vous, je trouve qu’il s’en sort plutôt mieux que la moyenne, mieux que Moati, par exemple, qui passe son temps à manger des Palmitos. Quant à Rambaud, je suppose qu’il n’y a pas plus bel hommage pour un pasticheur que d’être pastiché à son tour. Mais enfin, c’est une position assez théorique, je changerais peut-être d’avis si ça m’arrive un jour…
On verra bien. Il y a déjà suffisamment de mécanismes inconscients d’autocensure à gérer quand on produit une œuvre romanesque. Si en plus, on doit s’occuper de ça, on ne s’en sort plus. D’ailleurs, au moment où j’ai écrit les scènes avec Debray, il n’était pas au jury. Et puis, de toute façon, je ne suis pas d’accord avec vous, je trouve qu’il s’en sort plutôt mieux que la moyenne, mieux que Moati, par exemple, qui passe son temps à manger des Palmitos. Quant à Rambaud, je suppose qu’il n’y a pas plus bel hommage pour un pasticheur que d’être pastiché à son tour. Mais enfin, c’est une position assez théorique, je changerais peut-être d’avis si ça m’arrive un jour…