La nuit n'est jamais complèteIl y a toujours puisque je le disPuisque je l'affirmeAu bout du chagrin une fenêtre ouverteUne fenêtre éclairéeIl ya toujours un rêve qui veilleDésir à combler faim à satisfaireUn coeur généreuxUne main tendue une main ouverteDes yeux attentifsUne vie à se partager.
Henri Matisse, les 1001 nuits