Moi, on s’en fout, ça fait bien longtemps qu’il m’a bloqué sur twitter pour je ne sais même plus quelle obscure raison. Vu le guignol, nul doute que ce devait avoir trait à sa haine pathologique des musulmans dont il n’est manifestement pas encore remis, et à son adhésion sans discernement à la thèse pourrie du grand remplacement. Et puis, vu son niveau de stabilité psychique estampillé à la fois par la faculté de médecine et les institutions judiciaires qui lui ont instamment recommandé de consulter à l’occasion de ses multiples condamnations judiciaires, on s’en fout. C’est un total mytho. Cependant, alerté par quelques tweets épars, savoir que le Monsieur qui vient de sortir un livre refuse de le livrer à certains journalistes dont il connait les opinions trop critiques, histoire de ne pas leur permettre de faire ce pour quoi ils sont payés, voilà qui m’amusait de vous le voir partager. Car moi, je n’ai pas cette contrainte, je ne suis pas payé pour dire du bien ou du mal de Monsieur le « journaliste » (sic) et je fais ce que je veux. Et la liberté de la presse, à mes yeux, devrait être sacrée, dans un pays démocratique.
Et puis après, les mêmes vont crier à l’atteinte intolérable à la liberté d’expression, toussa… Ces gens là sont décidément de grands résistants…
Ce comportement d’un journaliste (l’est-il encore seulement ?) rejoint totalement à mon sens l’attitude du Front National qui refuse l’entrée de ses meetings à tels ou tels journalistes ou sites, histoire de contrôler ce qui circule, et de ne n’accepter que leur seule vérité. Qui est un mensonge. Rien que de voir certains extrait du Grand Œuvre (au noir ? Mouarrfff !) de l’artiste, on est vite fixé :
Voilà, c’est dit, et écrit. La suite appartient à l’équipe de la Team JPouney… Il est interdit de pouffer, ça va énerver les Desouche. Dont il me semble bien que les responsables de ces éditions là en soient. Voilà qui fera l’objet d’un prochain billet, si j’ai le temps, l’envie, et la matière. Si vous avez des infos…