L'idée d'un ticket Obama - Al Gore s'expose. Les campagnes mails se multiplient pour parvenir à une équipe présentant en effet de multiples avantages. Mais il paraît peu probable qu'Al Gore n'accepte.
Si l'expérience est le point faible de Barack Obama, pourquoi ne pas faire appel à un expérimenté consensuel qui de surcroît passe pour la "1ère victime" de Bush au moins chronologiquement : Al Gore.
Des démocrates s'activent en ce sens. Ils multiplient routages, affiches et même tee-shirts.
Mais rien ne devrait y faire.
Al Gore a tourné la page. Une mission internationale d'envergure pourrait l'intéresser mais non le retour à la gestion quotidienne du pouvoir.
Celles et ceux qui ont approché son équipe dernièrement sont clairs en la matière.