Alors que l’impression se démocratise de plus en plus, des actions humanitaires se développent aussi rapidement que les imprimantes 3D.
Les prothèses 3D comment ça marche ?
Plutôt qu’un long discours, voici le schéma de « Raptor Hand« . On peut alors se rendre compte que le fonctionnement est tout à fait rudimentaire, mais cependant il fonctionne extrêmement bien !
Voici les dessous de l’assemblage d’une telle prothèse.
La main 3D de « super Max »
Le premier français a reçu la semaine dernière la première prothèse imprimée. En effet, cette opération nécessitait auparavant une opération longue et très coûteuse !
Mais aujourd’hui cela est presque révolue grâce à l’association e-NABLE qui vient en aide aux personnes atteintes de malformation ou d’absence d’un membre, que l’on appel aussi agénésie. L’association peu compter sur plus de 5 000 volontaires à travers le monde, dont une petite quinzaine en France. L’association a pour but de fabriquer des prothèses avec les imprimantes présentes dans le commerce.
Le premier français à avoir pu bénéficier de ces prothèses est le jeune Maxence âgé de 6 ans, originaire de l’Isère (38). Atteins depuis le plus jeune âge d’agénésie. Ses parents sont soulagés de ne pas passer par la case opération.
Il suffit de quelques heures pour obtenir ce type de prothèse avec votre imprimante. Ensuite, il suffit de rassembler les pièces et fixer les articulations et le tour est joué ! En effet, tout le monde peu le faire, car les modèles proposés sont en open-source pour que tout le monde puisse en profiter !
Tout le monde peut profiter de ces innovations à petits prix. Les prix s’échelonnent de 50 à 300€. Le champ des possibles est alors de plus en plus grand et tout en faisant du sur-mesure !
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