Quand j’ai entendu ça aux infos, j’étais sur le cul. Qu’est-ce qu’il lui arrive donc, au Flamby ? Il lui serait poussé des couilles (ou des seins, c’est comme voulvoul, je ne suis pas sexiste) pendant la nuit ou bien ?
Voilà une position qui m’apparait enfin adéquate et courageuse, et qui va à l’encontre des discours habituels de l’extrême-droite et de ses petits bateaux suiveurs, pour lesquels Bachar Al-Assad est un interlocuteur crédible. C’est Myard et sa clique, qui doivent en être fort marris. Ces gens si aimables et policés qui estimaient il y a peu que cet être exquis qui a fait tirer sur son peuple (et continue encore à massacrer des civils plutôt que Daesch) était un Président ma foi fort souriant… La roue tourne. S’appuyer sur un fou sanguinaire pour en combattre d’autres, une morale de chacals.