De Pol Bury, chaque jour ou presque à la fin des années 90, je voyais cette oeuvre, « Deux cônes pour deux sphères » (photo SAN du Val Maubuée), devant le Lycée René Cassin de Noisiel (77), mais il n’y avait pas de mouvement, sinon celui suggéré par le déséquilibre apparent. Puis, bien sûr, la fontaine du Palais Royal à Paris, au mouvement très aléatoire, voire interrompu lui aussi.
Dans cette exposition de la Fondation Electra, tout bouge et craque et tourne et vibre, s’ouvre et se ferme, se multiplie, se déforme. Les moteurs sont cachés mais c’est le bois et le métal qui se choquent et modifient sans cesse l’image devant nos yeux.
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