Chateaubriand, Tocqueville, Boni de Castellane et
Clint Eastwood auraient-ils quelque-chose en commun ?
Les trois premiers ont voulu montrer à la démocratie
nouvelle, l’utilité de la noblesse. Les films du quatrième montrent que le
plouc américain n’est pas un facho. Leur point commun, peut-être, est qu’ils
utilisent les valeurs de l’adversaire pour se justifier. Ce faisant, ils les
acceptent. Ce qui pourrait être le début de la défaite. Avec, si le cas de Boni
de Castellane est général, la conséquence qu’accepter les valeurs adverses
c’est faire leur jeu. Donc tirer contre son camp.
Un autre exemple de ce phénomène semble être celui de
l’Eglise lors des Lumières. A partir du moment où elle a cherché à utiliser la
raison pour se justifier, elle ne pouvait que perdre.
Leçon à garder en mémoire ?