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La démocratie sous couvert de la tyrannie économique, ou serait-ce l'inverse ?

Publié le 23 août 2015 par Philippejandrok

Chères amies, Chers amis, 

Il est amusant de croire que l’on a beaucoup d’amis, car en réalité nous en avons relativement peu, bien sûr, nous pouvons en avoir des centaines sur la toile, des centaines virtuels et amicaux et tout autant de personnes malveillantes et frustrées qui s’acharnent à détruire l’image des uns, la pensée des autres, pour des raisons qui les regardent et qui illustrent une tristesse intérieure profonde, doublée d’une obscure médiocrité humaine. Une souffrance psychologique, dont s’emparent et qu'encouragent d’autres plus malveillants encore. Mais ce n’est pas le sujet de cette note.

À force de recherches et de réflexions sur notre société, un sujet qui me préoccupe particulièrement, j’ai pu en déduire que celle-ci est bel et bien dirigée par le mal, une vérité de La Palice, j’en conviens, mais pour comprendre la réalité de ce monde il faut être humble avec une pensée universelle ouverte et détachée le plus possible de l'ego. L'ego, destructeur de la raison humaine et faux ami de l'humanité.

Je pourrais également le désigner, ce mal, par le Diable, mais ce serait reconnaître Dieu comme seigneur et maître, si c’était le cas, laisserait-il le Diable agir comme il le fait ?

Il y a en l’homme, de nombreux sentiments contradictoires qui le mènent à dire une chose et à en faire une autre.

La politique, en revanche, n’est pas contradictoire, car la contradiction s’assimile à une erreur de fonctionnement, de pensée, de jugement, la politique, c’est la putain de Babylone au service d’un souteneur invisible, mais si puissant, que même les politiques tremblent devant celui-là, au point de devenir des traitres à la nation, nation qu’ils ont pourtant juré de protéger.

Actuellement, dans notre pays, la félonie explose sous nos yeux, et ceux qui, jadis étaient dans l’opposition du pouvoir, n’hésitaient pas à user de vérité pour qualifier ce pouvoir de traitre et de menteur, à accuser la Finance, responsable de tous les maux, et à prétendre que s’ils avaient la chance d’atteindre les marches du palais qui mènent à l’Élysée, ils changeraient la donne.

Ce discours, combien de fois l’avons-nous entendu ?

Nous ne les comptons plus, le dernier en date est bien notre cher F. Hollande, qui, député, criait au déni de démocratie contre l’utilisation de l’article de la loi, le 49-3, qui vise à faire passer une loi sans l’accord des députés, et c’est ce qu’il a fait avec la loi la plus obscure, la plus régressive du point de vue de la défense des droits des travailleurs et de la liberté du commerce en faveur des multinationales, en la loi Macron.

Les députés de l’opposition, avaient de leur côté été informés par leurs dirigeants de ne pas s'y opposer formellement, pour laisser passer cette loi, une complicité larvée et subtile indiquant :

- Allez-y, nous sommes d’accord, mais nous allons faire croire au peuple qui croit tout ce qu’on lui dit, que nous nous opposons à vous, alors, annoncez le 49-3, nous lancerons des cris d’effraies par principe…

Une telle complicité s’assimilerait à de la traitrise pour maintenir l’idée que les partis politiques servent à quelque chose, mais surtout le peuple. Mais comme ils ont pris la démocratie en otage, toutes les décisions prises, le sont par un groupe d’invisibles qui président à la destinée de l’état au détriment de celle des citoyens.

Or, plus le quinquennat socialiste avance, plus nous prenons conscience de sa fourberie.
Avant d’être élu F. Hollande n’hésitait pas à avancer que l’état fabriquait le terrorisme pour se renforcer, deux ans après son élection, l’attentat de Charlie tout aussi obscur qu’inimaginable, attentat non pas réalisé par des musulmans radicaux, car, incapables de monter une telle entreprise seuls, mais par un esprit bien plus pervers, pour voter rapidement après, la loi sur le renseignement.

Il ne s’agit plus de théorie du complot, mais de réalité politique et bientôt historique, à tel point que le gouvernement a créé des brigades de propagande pour se rendre dans les écoles et les lycées pour bien faire comprendre à la jeunesse de ce pays, que seuls des terroristes musulmans étaient responsables de ce crime odieux.

Pourquoi se fatiguer à faire croire aux enfants une vérité, si c’est la vérité ?

À moins que l’état lui-même doute de cette vérité ? Ce qui est visiblement le cas.

Je n’ai pas besoin de m’étendre sur le sujet, j’ai rédigé plusieurs articles qui en disent longs sur la duplicité de notre gouvernement, mais surtout des témoignages de personnalités européennes qui sont elles-mêmes parfaitement consciences que la version officielle du parti socialiste français et de son gouvernement, est loin de la vérité. À ce propos, l'Égypte vient de voter une loi condamnant toute personne mettant en doute dans le cadre d'un attentat, la version officielle de l'état, bientôt en France ? Certainement.

Il y a la vérité politique et la vérité historique, et les deux ne font pas bon ménage.

Aujourd’hui, nous ne pouvons croire que la Loi Macron ait été imposée par hasard en cette période de migration imposée par les grands de ce monde pour déstabiliser les états et leur économie. Une telle loi est liée à la crise financière, aux guerres du Moyen-Orient, et surtout à la volonté d’un nouvel ordre mondial qui veut non seulement contrôler les flux financiers, mais également les populations de ce monde, car les deux vont de paire.

L’avenir monétaire des pays industrialisés se dessine, une destruction totale de la monnaie, comme ils l’ont fait des peuples européens en créant cette Europe impossible à gérer, et à contrôler en dehors de cet ordre qui se fiche de savoir qu’un Grec pense autrement qu’un Allemand ou un Français, tout cela doit disparaître, seule une identité unique doit émerger de ce magma culturel et humain.

C’est une sorte d’esclavage moderne comme ces hommes noirs enlevés à leur terre d'Afrique pour devenir esclaves d’une race inférieure, la race blanche, mais supérieure en technologie et en haine, ces noirs, toutes ethnies confondues, étaient considérés comme des « nègres » sans la moindre distinction, c’est ce qui les a maintenus en esclavage. C’est exactement ce que veulent faire aujourd’hui ces « maîtres » qui sont toujours les mêmes, avec les peuples Européens.

On détruit le religieux, le sacré, puis on intègre un nouveau mode religieux pour l’achever, on ruine les peuples en créant artificiellement des flux monétaires virtuels, car les banques s’enrichissent sur du vent, c’est pourquoi d’une part, il y a des krachs boursiers, et pourquoi d'autres parts, elles veulent supprimer la monnaie, de sorte qu’elles déterminent ce qui a de la valeur et ce qui n’en a pas.

Aujourd’hui, la nouvelle religion, c’est celle de l’argent et elle réunit tout le monde sous la même bannière.

Avec un ordinateur on peut devenir riche en une seconde, en appuyant sur la bonne touche, la bonne ligne de code, ce n’est plus le fruit du travail qui créer la richesse, c’est la ligne de code écrite dans un langage abscons que seuls les initiés connaissent.

La preuve, un paysan qui fait pousser du café au Brésil ou en Afrique, se tue au travail pour une misère, mais le banquier de la bourse de Chicago va se mettre des millions de dollars dans la poche sans transpirer une goute de sueur, en spéculant sur la force de travail d’un miséreux, cette aberration du système doit cesser, elle est malsaine, perverse, malfaisante.

En France, la loi Macron n’a pas été imposé pour aider les citoyens à sortir de la crise, mais pour permettre aux multinationales de rétablir la balance, afin d’exploiter en France encore plus la main d’œuvre que l’on exploitait hier dans les pays pauvres, et ce flux migratoire tombe à pic, car l’ouvrier français va logiquement refuser de travailler pour 2 euros de l’heure, moins qu’un café en terrasse à Paris ou à Venise, mais pas le Syrien, l’Irakien, l’Africain, qui lui a besoin de s’intégrer et de travailler pour vivre, et pour vivre il devra faire mourir celui qui ne veut pas s’avilir, c’est la société d’aujourd’hui que nous avons construite malgré nous, en donnant le pouvoir à des chiens qui agissent pour un maître qui leur donne une gamelle de croquettes Monsanto à manger pour que nous, citoyens, n’ayons plus que des os au fluor à ronger pour nous donner la diarrhée.

Ce même triste personnage dont la loi porte le nom, qui demande des concessions aux français, prétendant qu’ils sont trop payés, alors qu’ils gagne 8 millions d’euros par an en spéculant sur la misère des citoyens de ce monde, que penser d’un tel individu, payé par ces mêmes citoyens qu’il veut brimer pour la France, mais s’il travaillait vraiment pour la France, il ne toucherait pas son salaire, le fait-il ?

L’homme qui demande des concessions et qui n’en fait aucune, ne s’inscrit pas dans la dignité :

« Des concessions ! Des concessions ! C’est comme cela qu’on perd le gout. » 
Victor Hugo, « Les derniers jours d’un condamné »

J’aurais encore beaucoup à dire, je termine actuellement une étude sur le sujet à paraître prochainement.

Nous vivons une époque formidiable…


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