Si comme moi vous avez du mal à vous y retrouver parmi toutes ces maisons d'éditions et que vous ne vous souvenez pas des dates de parution voici mon nouveau rendez-vous dans lequel je vous parle des parution du jour si vous avez d'autres titres de livre n'hésitez pas ça me fera plaisir :)
Beaucoup de sorties aujourd'hui, voici celles qui me tentent le plusEthan et Abby, mariés depuis peu, passent leur lune de miel sur une île enchanteresse des Caraïbes. Eaux turquoises le matin, champagne le soir... Mais le rêve prend fin, brutalement. Le couple est tué dans le sauna de leur suite de luxe.
Peu de temps après, deux amoureux convolant à Rome sont assassinés. Qui peut bien s'en prendre à des couples mariés depuis peu ?
L'ex-agent du FBI John O'Hara se voit confier l'enquête tandis que l'agent spécial Sarah Brubaker traque de son côté un autre serial killer, dont les victimes ont un étonnant point commun : elles portent toutes le même nom : John O'Hara !
Des lors, les routes de John et de Sarah vont se croiser. Il leur faudra, pour arrêter les deux criminels, unir leurs efforts. Et plus si affinités...
Au sein de la Zone d'Intérêt - le camp d'Auschwitz et ses ramifications, sans que jamais il ne soit explicitement nommé -, trois personnages, trois archétypes s'expriment à tour de rôle : le commandant du camp, Paul Doll, le " Sonder " Smulz, et Angelus Thomsen, neveu du secrétaire personnel de Hitler.
Au printemps 1942, lors d'une scène impressionniste, presque pastorale, l'officier SS Thomsen croise Hannah Doll, l'épouse du commandant, dont la beauté est en tout point conforme aux canons national-socialistes. Dès lors, le coureur de jupons nourrit pour elle une véritable obsession et entreprend de la séduire.
Paul Doll, le commandant, est un bouffon vaniteux surchargé de travail par sa hiérarchie. Il est aussi la risée de sa femme. Doll est la voix satirique de l'auteur, une figure monty-pythonesque au cœur du système nazi.
Le troisième narrateur est Smulz, le chef des sonderkommando, prisonnier juif qui assiste les nazis dans leur tuerie. Smulz est " l'homme le plus triste que le monde ait jamais porté " et se perçoit lui-même comme à la fois un martyre et un témoin de l'horreur. Parmi les cadavres qu'il manipule tous les jours, il se sait aussi voué à la mort.
Satire sombre ou vision effrayante de la banalité du mal, admirablement servie par la plume de Martin Amis, La Zone d'Intérêt dépeint les nazis comme de mesquins petits employés de bureaux papotant dans leurs box, relate sans plus de formalisme un marivaudage grotesque et dérangeant en plein système concentrationnaire, et oblige imperceptiblement le lecteur à sonder les profondeurs de l'âme, à questionner l'humain dans sa capacité à accepter l'ignominie.
Issue d'une grande famille de producteurs de cognac, Mauve, interprète à Bruxelles, revient au château de Bassan après douze ans d'absence pour assister aux funérailles de sa sœur. Des événements inattendus la retiennent au domaine et la conduisent à faire des choix qui vont bouleverser sa vie. Jalousies, drames, secrets de famille, une intrigue romanesque au cœur de la région charentaise.
Mauve revient au château de Bassan pour assister aux funérailles de sa sœur Véronique. L'accueil est glacial. Douze ans auparavant, elle avait rompu ses fiançailles avec l'homme qui a finalement épousé Véronique, puis coupé toute relation avec sa famille sauf avec son père avec qui elle a toujours gardé un lien. Contre toute attente, sa sœur l'a choisie pour être la tutrice légale de Guillaume, sept ans, et Laurie, cinq ans, ses deux enfants aujourd'hui orphelins. Mais sa tante Paule, une vieille fille acariâtre qui a toujours régné en maître sur le domaine, n'entend pas les choses ainsi et redouble d'agressivité à l'égard de sa nièce. Et pour cause, le lendemain des obsèques, le maître de chai annonce à Mauve que l'entreprise est au bord de la faillite. Or si la jeune femme veut protéger l'héritage de ses neveu et nièce, elle doit absolument sauver l'entreprise. Elle décide de prolonger son séjour à Bassan, le temps pour elle de trouver des alternatives, mais elle compte bien rentrer au plus vite à Bruxelles où elle mène une existence heureuse, entre son métier passionnant d'interprète et Liang, un homme aimant dont elle partage la vie. Vient pour elle l'heure des choix. Liang supportera-t-il longtemps d'être séparé d'elle ? Mauve sait qu'elle prend un énorme risque, d'autant qu'Anthony, son amour d'adolescence, a bien l'intention de brouiller les cartes à son avantage... Seule dans l'adversité, elle choisit malgré tout de se battre pour sauver le domaine et préserver les enfants, affrontant la haine de certains membres de sa famille qui révèlera de sombres secrets autour de son enfance et bouleversera sa vie.
Ancien magicien surnommé le Briseur d'esprit, Joe Bailey est entré dans la police d'Atlanta, où il s'est spécialisé dans les arnaques de faux médiums. Lors de sa première affaire de meurtre, le principal suspect est un garçon de huit ans capable de télékinésie, soupçonné d'avoir assassiné le responsable d'un programme de parapsychologie en l'empalant par la pensée sur une sculpture géante.
Dans les Swinging Sixties la nation tout entière est sous le charme de Sophie Straw, la nouvelle star de la comédie à succès de la BBC. Ça tombe bien, cette ancienne Miss Blackpool n'a qu'une ambition dans la vie : faire rire les gens. En studio comme à l'écran, l'équipe du feuilleton vit de grands moments. Les scénaristes, pour qui le genre comique est une religion, cachent tous deux un secret. Pur produit d'Oxbridge, le producteur est dévoué corps et âme à l'équipe en général et à Sophie en particulier. Quant à Clive, le premier rôle masculin, il a la tenace intuition que ce n'est qu'une parenthèse dans sa carrière... Lorsque la fiction rejoint la réalité de trop près et que le scénario épouse les péripéties de la vie, chacun doit faire un choix. Continuer ou changer de chaîne ? Une défense et illustration de la pop culture et du divertissement, pleine de fous rires et de tendresse.
Au chapitre des bois dont sont faites nos amours, nous avions déjà, en magasin, divers modèles : les très écologiques Philémon et Baucis, mêlant tendrement la croissance de leurs ramures, dans un style plus brut et élagué Héloïse et Abélard, au chapitre des essences vénéneuses Tristan et Isolde. Avec Stéphane et Geneviève, les héros d'À l'enseigne du cœur épris de Jean-François Pigeat, l'offre s'enrichit. C'est l'amour au temps d'Habitat ou du Bon Coin qui s'offre à nous, mi-kit, mi-bonne occase, trouvaille et bricolage : à la complexité du mode d'emploi répondent les problèmes de pièces manquantes et surtout les difficiles étapes de l'assemblage. Stéphane capte Geneviève sur un site de rencontres, premier baiser romantique dans les ruines de l'abbaye de Jumièges, s'engage alors entre eux un lent montage amoureux, pièce à pièce, fait d'exquis moments d'aisance ou de douloureuses difficultés d'emboîtages, d'autant que les matériaux ne sont pas les mêmes : elle est un bois fluide, tendre, aisé à tordre ou à briser, lui un matériau noueux, compact, dur à travailler. Parents, amis, enfants secrets, chacun découvre à l'autre des cloisons coulissant sur les mystères intimes, des doubles fonds amers. Survient, nette, la brisure. À la survenue d'un fils caché, Stéphane s'efface, s'éloigne d'une Geneviève au corps handicapé par une douloureuse blessure. Quelques mois plus tard, il apprend la disparition de Geneviève. Il s'adonne alors à un fiévreux chinage amoureux : lieux, choses, présences. Qu'est devenue Geneviève ? Puis soudain, à la grande braderie de la vie, la revoilà. Mais les amours mises en pièces se reconstruisent-elles ? Dans ce premier roman, Jean-François Pigeat, dans la foulée des Choses de Perec, met en scène, au sein d'un monde d'objets intimes ou standardisés, une douloureuse mécanique amoureuse tout en engrenages et échappement.
C'est l'histoire d'Étienne, photographe de guerre, pris en otage dans quelque lointaine ville à feu et à sang. C'est l'histoire d'un enfermement et d'une libération - pas forcément ceux qu'on croit.
Sur une thématique éminemment contemporaine, le nouveau roman de Jeanne Benameur s'ouvre comme un film d'action pour mieux se muer en authentique livre de sagesse. Avec la délicatesse d'âme et la profonde sincérité qu'on lui connaît, l'auteur des Demeurées et de Profanes y tend une ligne droite entre la tête et le cœur, un chemin vers des êtres debout.
Depuis sa plus tendre enfance Théo est un garçon très cool mais malgré tout il n'a pas de chance avec les filles. Il a 18 ans lorsque survient l'accident de voiture qui va le laisser paraplégique. Ironie du sort : c'est à partir de ce moment que les filles commencent à s'intéresser à lui. Il rencontre Sofia, une étudiante russe dont il tombe éperdument amoureux. Mais une histoire d'amour, ce n'est jamais simple et Théo, complexé par son handicap, la complique avec cette obsession : celle d'embrasser Sofia debout. Il va alors tout mettre en oeuvre pour y réussir.