De tout temps la peur a apporté le rejet L’ignorance fut le socle des discours populistes Coupable de tous maux, celui qu’on ne connaît Les réseaux dits sociaux bavent de haines simplistes
De fausses citations alimentent la bêtise Quelques photos truquées de violence infinie Il ne faut presque rien pour convaincre un naïf Ils savent que jamais leur cible ne vérifie
Leurs ficelles sont bien grosses pour qui regarde loin Si ce n’était si grave on pourrait même en rire Dire des mots d’amour est pourtant plus serein
Rêver de dire bonjour, d’échanger un sourire.
Antidote