Le monde s'est ému la semaine dernière sur le sort du lion Cecil, symbole touristique du parc national Hwange au Zimbabwe en raison de sa crinière en partie noire. Tué par un riche dentiste américain, Walter James Palmer, Cecil est devenu le symbole de la lutte contre le braconnage. La toile ne manquera jamais de nous souvenir que ce fait divers n'est q'un exemple parmi des centaines :
... et qu'il n'y a pas que les américain(e)s qui posent sourire aux lèvres devant leur trophée animalier : Axelle Despiegelaere, notre héroïne sexy de la coupe du monde au Brésil, en avait fait les frais lorsque la photo ci-dessous avait été déterrée par des internautes :
D'autres internautes ont eux le cœur à la blague avec ce cliché de Steven Spielberg posant devant un tricératops ou s'insurgent contre cette médiatisation comme le belge Marcel Sel dans son article Cecil ou l'indignation des privilégiés. (Les autres peuvent crever.)
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Mais il y a un autre fait animalier qui a ému les bruxellois : la destruction de la célèbre statue d'un chien qui pisse (voir photo en tête d'article), appelé Zinneke, dans la rue des Chartreux. Première victime du piétonnier annonce avec humour le post Facebook. Ce nouvel acte animalier a scandalisé les internautes. Heureusement, tout est bien qui fini bien dans cette histoire : Zinneke reviendra après sa convalescence...