Avec le retard pris lors de mon opération je ne puis que vous présenter des abstracts et encore ai –je négligé quelques annonces politico- scientifiques ou des projets bien trop lointains
Je vais essayer de me rattraper !
------------------------------------------------------------------
1 :RESUME
Pluto comes into focus as New Horizons nears the dwarf planet
Spacecraft will soon be just 12,500 km from Pl
Image of Pluto taken on 7 July, when the New Horizons was 8,000,000 km from the dwarf planet. The image includes several features of interest to planetary scientists including the elongated dark feature at the equator, which has been dubbed the "whale". (Courtesy: NASA)De superbes images de Pluton ont été acquises au cours des derniers jours par la sonde New Horizons à l'approche de la planète naine à 7500000000 kilomètres de la Terre. La mission de la NASA va s approcher des 12500 km de Pluton - qui n'a jamais été visité par un vaisseau spatial - le mardi 14 Juillet avant de s’aventurer plus profondément dans la ceinture de Kuiper.
Lancé en 2006 pour étudier Pluton et la ceinture de Kuiper, New Horizons transporte sept instruments scientifiques, dont des imageurs et spectromètres dans les gammes visibles, infrarouges et ultraviolettes. Le Long Range Reconnaissance Imager (LORRI) a été utilisé pour prendre l'image ci-dessus de Pluton le 7 Juillet, lorsque la sonde était à 8.000.000 kilomètres de la planète naine. L'image comprend plusieurs éléments d'intérêt pour les scientifiques planétaires, y compris la fonction sombre allongée à l'équateur, et qui a été surnommé la «baleine»-
--------------------------
Mon commentaire : il est bien entendu enthousiaste mais je doute que les données de PLUTON contribuent à l’assise définitive de l’histoire de la nébuleuse protoplanétaire qui a donné naissance a notre système solaire ……Trop dechose demeurent inexpliquées ;
J’ai été déçu du magazine CIEL ET ESPACE consacré à PLUTON ce mois-ci .En revanche , je recommande l article de DAVID JEWITT/EDWARD YOUNG dans « POUR LA SCIENCE « d’aout ( intitulé « Des océans tombés du ciel »)
-----------------------------------------------------------------------------
2 :RESUME
Computer-chip features shrink to 7 nm
2 comments
Silicon-germanium and extreme ultraviolet lithography keep Moore's law on track
Les scientifiques de l'IBM Research ont été les premiers , en travaillant des prototypes de puces informatiques sur des circuits caractéristiques à atteindre les 7 nm. L'étape a été franchie en collaboration avec GlobalFoundries, Samsung et avec les chercheurs à l'Institut Polytechnique de collèges SUNY Nanoscale Science and Engineering. Les principales caractéristiques de ces puces ont été réalisées en utilisant du silicium-germanium, plutôt que du silicium classique. La nouvelle technologie pourrait bientôt permettre de placer un paquet de 20 milliards de transistors sur une seule puce - deux fois plus que ce qui est possible aujourd'hui.
En 1965, Gordon Moore, cofondateur d'Intel, a prédit que le nombre de transistors par unité de surface sur des circuits intégrés devrait doubler chaque année, et cette prédiction est devenue ce qui est reconnu comme la célèbre loi de Moore. L'industrie du silicium a réussi à suivre cette loi jusqu'à tout récemment, et cela nous a donné naissance à une myriade d’électroniques de consommation à faible coût pour Mr VULGUM PECUS !
-------------------------------------------
Mon commentaire : Voilà de la PHYSIQUE A BREVETS et tant mieux pour les masses populaires ; mais cette course à la miniaturisation –densification aura un jour son terme le rayon de VAN DER WALLS de l’atome du silicium ;210pm ! c’est bien plus petit !
-----------------------------------------------------------------------
3/ RESUME
LHCb claims discovery of two pentaquarks
1 comment
Result is best evidence yet for bound states of five quarks
La meilleure preuve obtenue jusqu’ici de l'existence d'un nouveau type de particule appelée pentaquark vient d’être dévoilée par les physiciens travaillant sur l'expérience LHCb sur le Grand collisionneur de hadrons (LHC) au CERN. Avec cinq quarks consolidés en « paquet » les pentaquarks ont d'abord été prédits à la fin des années 1970, et les preuves de leur existence ont émergé de plusieurs laboratoires dans les années 2000, avant d'être contredites par des expériences faites ailleurs. Bien que cette dernière preuve issue de LHCb paraisse très forte, les données ne révèlent pas exactement comment les cinq quarks sont liés ensemble - voilà donc quelque chose qui va faire l'objet d'autres études au CERN.
Les hadrons les plus connus sont soit des mésons, qui contiennent un quark et un antiquark, ou des baryons, qui comprennent trois quarks. Un proton contient deux quark "up" et un quark "down ", tandis qu'un kaon positif contient un quark ,un antiquark et un quark étrange". Mais la théorie de la force forte - la chromodynamique quantique (QCD) - permet à d'autres types de baryons, d’exister , à condition que le nombre de quarks moins le nombre d’ antiquarks reste un multiple de trois. En particulier, il permet de particules contenant des tetraquarks avec un antiquark.
Au début des années 2000, plusieurs groupes indépendants de physiciens ont rapporté l'observation de pentaquarks, la plupart avec des masses dans la gamme MeV / c2 de 1520-1560. Depuis lors, cependant, d'autres groupes de recherche ont échoué à trouver une preuve supplémentaire pour ces pentaquarks, et au début de cette décennie, le consensus dans la communauté physique des particules était que le pentaquark restait encore à découvrir.
Puisque maintenant, les physiciens de LHCb ont trouvé des preuves convaincantes de l'existence de ces pentaquarks - cette fois avec une masse beaucoup plus élevé d'environ 4400 MeV / c2 , il reste à savoir de quoi ils pourraient être faits !!! L'équipe a étudié la désintégration du baryon Λb dans trois autres particules: un proton , un J / ψ, et un kaon chargé. Une analyse minutieuse des produits de désintégration a révélé que deux états intermédiaires ont parfois été impliqués dans leur production. Surnommé Pc + (4450) et Pc + (4380) - où les chiffres sont les masses des particules dans les unités MeV / c2 - les deux particules ont été observés avec les significations statistiques supérieures à 9σ. En physique des particules une signification plus grande que 5σ est considérer comme une découverte. L'équipe du LHCb estiment que les pentaquarks comprennent deux quarks up, un quark down, un quark de charme et un quark anticharme
---------------------------------------------------------
Mon commentaire : il va vous paraitre cruel : le CERN se nourrit de ce qu’il ne réussit pas à trouver : les particules supersymetriques !Ces tetraquarks ou ces pentaquarks n’ont d’intérêt que théorique , vu leur durée de vie !
------------------------------------------------------------------------------
4/ RESUME
Bountiful buckyballs resolve interstellar mystery
4 comments
a) High-resolution absorption spectra of the interstellar 9600 medium, such as that shown here, include more than 400 unidentified diffuse interstellar bands (white lines) spread across the optical and near-infrared domains. (b) Maier and colleagues now prove that the charged buckminsterfullerene ion C60+ is indeed responsible for the two strongest interstellar DIBs in the near-infrared at 9577 Å and 9632 Å (indicated by stars) discovered in 1994. (Courtesy: Nature 523 322)" />a) High-resolution absorption spectra of the interstellar 9600 medium, such as that shown here, include more than 400 unidentified diffuse interstellar bands (white lines) spread across the optical and near-infrared domains. (b) Maier and colleagues now prove that the charged buckminsterfullerene ion C60+ is indeed responsible for the two strongest interstellar DIBs in the near-infrared at 9577 Å and 9632 Å (indicated by stars) discovered in 1994. (Courtesy: Nature 523 322)" />a) High-resolution absorption spectra of the interstellar 9600 medium, such as that shown here, include more than 400 unidentified diffuse interstellar bands (white lines) spread across the optical and near-infrared domains. (b) Maier and colleagues now prove that the charged buckminsterfullerene ion C60+ is indeed responsible for the two strongest interstellar DIBs in the near-infrared at 9577 Å and 9632 Å (indicated by stars) discovered in 1994. (Courtesy: Nature 523 322)" />a) High-resolution absorption spectra of the interstellar 9600 medium, such as that shown here, include more than 400 unidentified diffuse interstellar bands (white lines) spread across the optical and near-infrared domains. (b) Maier and colleagues now prove that the charged buckminsterfullerene ion C60+ is indeed responsible for the two strongest interstellar DIBs in the near-infrared at 9577 Å and 9632 Å (indicated by stars) discovered in 1994. (Courtesy: Nature 523 322)" src="http://images.iop.org/objects/phw/news/19/7/17/PW-2015-07-16-ehrenfreund-web.jpg" id="TB_Image" height="317" />
(a) High-resolution absorption spectra of the interstellar 9600 medium, such as that shown here, include more than 400 unidentified diffuse interstellar bands (white lines) spread across the optical and near-infrared domains. (b) Maier and colleagues now prove that the charged buckminsterfullerene ion C60+ is indeed responsible for the two strongest interstellar DIBs in the near-infrared at 9577 Å and 9632 Å (indicated by stars) discovered in 1994. (Courtesy: Nature 523 322)--------------------------------Il est désormais officiel que des molécules telles que le « buckminsterfullerene, » ou «buckyballs», existent dans notre galaxie - la Voie Lactée. La dernière confirmation sans équivoque, vient des chercheurs de l'Université de Bâle en Suisse, qui non seulement confirment une prévision de 20 ans, mais indiquent également que C60 pourrait être omniprésente dans l'espace.
Il y a près d'un siècle que les scientifiques ont d'abord détecté certaines caractéristiques bizarres dans la lumière des étoiles de la Voie Lactée. Depuis lors, ces caractéristiques, appelés diffusion des bandes interstellaires (de DIB), ont également été enregistrées dans les spectres du milieu interstellaire des autres galaxies. Toutefois, les chercheurs n’avaient pas encore réussi à identifier , quelles étaient les molécules chimiques responsables de la production de ces bandes.
Grâce à de nouvelles expériences de spectroscopie sur C60 + et avec de l'hélium à 5,8 K (la température de l'espace interstellaire), une équipe dirigée par Jean-Paul Maier du département de chimie de l'Université de Bâle a constaté que les caractéristiques d'absorption de lumière de C60 + peuvent en effet correspondre à celles des deux bandes identifiées il y a plus de deux décennies. Les chercheurs ont obtenu leur résultat en comparant les spectres d'absorption de la lumière des étoiles à travers les nuages interstellaires diffuses et le spectre électronique de C60 +.
------------------------------------------------------------------------------
Mon commentaire : ENCORE ENTHOUSIASTE ! Que l’on trouve des formes alambiquées de carbone dans l’espace ne m’étonne plus et les observations de terrain sur PHILAE et ses produits carbonés et charbonneux divers le confirment ! notre vie est issue du carbone !
A suivre