De quoi vais-je vous parler aujourd’hui ? Voici quelques indices. Mon premier est une matière renouvelable étudiée dès le Lycée. Mon second est souvent couplée à la notion de compétence, transmise de génération en génération et si précieuse, qu’elle nous transforme parfois en experts ! J’ai le plaisir d’évoquer ici l’économie de la connaissance.
En
Nous sommes toujours dans une économie de consommation de ressources premières non renouvelables dont les limites sont pourtant assezsimples à comprendre. L’économie de la connaissance, elle, pourrait transformer l’organisation de notre société dans son ensemble pour la baser sur le partage et la valorisation de la nature.
L’économie de la connaissance représente pour moi une renaissance réaliste, humaniste et écologique du monde. Pourquoi ? Parce que quand on ne connaît pas, on ne peut pas créer de la valeur et donc de la croissance durable, parce que l’ignorance entraine la crainte, parce que la biodiversité par exemple, est une source immense de connaissance renouvelable qu’il faut mieux « copier/coller » que « couper » !
En bref, la connaissance, c’est le nouveau pétrole. Par exemple, la Corée du Sud, sans ressources naturelles, exporte 20 % de plus que toute la Russie.
Je vous encourage vivement à écouter Idriss J. Aberkane lors d’une conférence à Polytechique. Il est l’un des auteurs de référence sur le sujet. Cliquez ici pour visualiser la vidéo
Retrouvez également le document de référence écrit par Idriss J. Aberkane sur ce lien
Ce sujet était également à l’honneur lors de la cérémonie des Trophées Les Femmes de l’économie PACA-Monaco en Juin 2015. Regardez la vidéo en cliquant ici
Idriss J. Aberkane un scientifique français, spécialiste des neurosciences, chercheur à Stanford, ingénieur d’étude en biomimétique à l’Ecole Polytechnique, ancien interne du département de psychologie expérimentale de l’université de Cambridge au Royaume-Uni.
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