Bonjour à tous
Aujourd'hui, on partage avec vous nos silhouettes des défilés haute couture préférées:
Schiaparelli:
La marque ravivée, on retrouve ce qui a fait le succès de la créatrice italienne en son temps avec son rose shocking et ses imprimés osés mais avec un sens de la coupe et de l'élégance toute en légèreté.
Christian Dior:
Raf Simons continue de déstructurer les archives de la maison en implantant dans le monde contemporain les silhouettes New Look et fleuris de monsieur Christian Dior. Les manteaux divins et les manches asymétriques de ses modèles étaient la cerise sur le gateau.
Valentino:
Avec beaucoup de noir et des touches or et rouge sublimes, la marque a rendu hommage à la cité romaine et ses vestales antiques: sensuelles et monacales à la fois.
Chanel:
Karl Lagerfeld a choisi le travail mécanique d'un ordinateur et des lasers pour concevoir les silhouettes du défilé qui ainsi mêlaient habilement modernité et références historiques aux petites robes noires 1930 de Gabrielle Chanel et à ses tailleurs emblématiques.
Bouchra Jarrar:
Les silhouettes de la créatrice évoquent des allures sportswear 1930, ses pantalons fluides et ses jupes plissées auraient parfaitement pu être aperçues dans des photographies de George Hoyningen-Huene. Une belle manière de temporiser la haute couture...
Maison Margiela:
Qui mieux que John Galliano peut appréhender le gout signature de la maison pour la recul et l'étrange? En dirigeant la maison vers une couture de plus en plus flamboyante, le créateur n'en n'oublie pas de détourner les silhouettes, mélanger les matières et les formes incongrues et d'en faire du Beau.
Giambattista Valli:
Il y a quelque chose d'une élégance pop telles que les belles mondaines pouvaient apprécier dans les années 1960 et 1970. Un psychédélisme de luxe revisité au gout du jour...
Viktor & Rolf:
Il y a un grand débat qui tend à définir si la mode peut être considéré comme un art et bien les créateurs néerlandais ont décidé de transformer l'art en objet de mode. Des toiles imbriqués, éclatés autour de pièces de denim...Une fois le passage du mannequin achevé, le duo retirait la toile, la rassemblait et l'accrochait aux cimaises du palais de Tokyo où prenait place le défilé. L'objet d'art était devenu mode pour redevenir art...
Bises!