"Amos Yee n'est pas un criminel. Il n'aurait jamais dû être inculpé, et encore moins condamné. Il est sanctionné uniquement pour avoir exercé son droit à la liberté d'expression", a déclaré Rupert Abbott, directeur du programme Asie du Sud-Est et Pacifique à Amnesty International.
La condamnation de cet adolescent de 16 ans a été antidatée au 2 juin 2015, et il a donc pu quitter le tribunal, ayant déjà purgé sa peine.