Coucou les gens!
J’ai encore fait ma feignasse ces dernières semaines, puisque j’ai terminé la première saison de la série dont nous allons parler il y a maintenant des plombes.
Mais bref, ne raillons pas une fois de plus ma procrastination chérie, et penchons-nous sur le cas de In the Flesh. Cette série m’a été chaudement recommandée par Yoda Bor, et je l’en remercie vivement, parce qu’elle m’a beaucoup plu.
Et pour savoir pourquoi, il suffit de cliquer, c’est spoiler-free!
Kieran Walker s’est suicidé en 2009. Sauf qu’aujourd’hui, il est tout ce qu’il y a de plus vivant. Après qu’un événement mystérieux appelé The Rising ait ramené à la vie des centaines de personnes, celles-ci sont progressivement ramenées dans la société, sous le nom de Partially Deceased Syndrome sufferers, ou PDS sufferers. Kieran fait partie de ceux-là. Mais lorsque l’on s’est suicidé, revenir à la vie n’est pas facile…
C’est vrai qu’une série sur les zombies dont le thème principale n’est PAS les zombies, c’est déroutant au début. J’avoue que j’ai mis du temps à comprendre que toute cette affaire n’est qu’une grande métaphore sur l’acceptation et le racisme. Oui, c’est de ça dont il s’agit.
Et je comprends qu’elle ait gagné tant de prix, parce que Luke Newbury (que je n’ai vu nulle part d’autre à ma connaissance) joue magnifiquement bien ce pauvre petit Kieran qui a tellement souffert et qui souffrira encore.
Alors bien sûr, la série est assez déprimante. C’est le sujet. Mais elle gagne en messages optimistes au fur et à mesure, et la saison deux est bien moins plombante.
Et en plus, si vous avez des séries à supprimer de vos challenges, il n’y a que neuf épisodes à regarder en tout, ce qui n’est vraiment pas un problème tellement elle est addictive.
Bref, je vous la conseille, mais seulement si vous êtes heureux en ce moment. Parce que rajouter ça sur une humeur déjà déprimée, ça peut être dévastateur…
Note: 7/10
Cette série fait partie de mon Challenge Séries 2015