On connaît bien l'un des grands échecs de notre système scolaire, soit le taux élevé de décrochage des jeunes du secondaire, surtout chez les garçons.
Mais notre incapacité collective à prendre correctement en charge les populations scolaires plus vulnérables a une autre conséquence, beaucoup plus grave et beaucoup plus insidieuse : le niveau de littératie des jeunes Québécois est l'un des plus bas du monde industrialisé.--- Alain Dubuc