Hello la Bigrosphère!
Je me suis rendu compte en revisionnant le film susmentionné que je ne vous en avais jamais officiellement parlé sur le blog. Ce qui, à mon sens, est un damn right blas-phème!
Donc voici la review, spoiler-filled of course, d’une comédie romantique qui fait partie de mes films préférés depuis des années…et qui n’a pas pris une ride (comme quelqu’un qui joue dedans d’ailleurs).
Cliquez donc!
Penelope Wihern est la victime malheureuse d’une malédiction lancée sur sa famille depuis des générations. La jeune fille, affublée d’un nez et d’oreilles de cochon, vit cloitrée dans le grenier de ses parents, et doit se résoudre à voir défiler tous les héritiers du pays dans l’espoir qu’un jour l’un deux accepte de l’épouser et brise la malédiction. Jusqu’au jour où Edward Vanderham aperçoit Penelope, et décide de voir en elle un monstre de foire…
Je ne sais plus très bien dans quelles circonstances je suis tombée sur ce film la première fois. Je visionnais sans doute la filmographie de *cough cough* en fait, maintenant que j’y pense. Mais ce dont je me souviens, c’est du direct coup de foudre qui a suivi.
Il faut dire que Penelope mélange comédie romantique assumée et film engagé, puisque le thème central est « s’aimer soi-même, peu importe ce que les autres voient en vous ». Penelope est la seule à pouvoir briser sa propre malédiction, mais elle en a été empêchée par une mère qui ne voyait sa fille que comme un nez et rien d’autre. C’est beau les films à message, quand même.
Il faut de toute façon que je vous avoue un truc: l’atout principal du film, c’est son casting. ;)
Penelope est incarnée par Christina « Mercredi » Ricci, que j’ai toujours trouvée à croquer, et ici, même avec un nez de cochon, elle est canon. (J’aurais même tendance à la trouver plus jolie avec: la fin du film sans me dérange un peu…)
Edward, son prétendant un tant soit peu dérangé, est incarnée quant à lui par Simon Woods, aperçu en Mr Bingley dans Pride & Prejudice ou encore en Octave dans Rome (un rôle moins mignon, pour le coup).
Mr Lemon, le journaliste avide de preuves que Penelope existe, est interprété par l’impossiblement doué Peter Dinklage, et après l’avoir redécouvert dans Game of Thrones, c’est encore plus un plaisir que de revoir ce film dans lequel il ne se prend pas au sérieux (voir la deleted scene avec Nick Frost: jouissif).
Mr and Mrs Wihern sont eux interprétés par Richard E. Grant et Catherine O’Hara, parfaits en parents à côté de leurs pompes; et Annie, l’amie de Penelope, est incarnée par Reese Witherspoon, qui en profite pour produire le film, tant qu’à prouver qu’il est bon.
Mais bon, voilà, s’il n’en fallait qu’un, ce serait lui, l’Homme aux yeux bleus électriques, j’ai nommé Mr James McAvoy, qui même affublé d’un accent américain aaaaaa-ffreux, est tellement canon que ça frise l’indécence. Son Johnny est juste parfait. Par-fait.
Mais je ne suis que subjective quand il s’agit de parler de ce gars, donc pardonnez-moi. ;)
Bref, Penelope est un film à voir, sans aucun doute, car il est frais et pas nunuche pour un sou! C’est encore un réel plaisir que de le revoir limite tous les deux mois, parce qu’en cas de coup de mou, y a rien de mieux! :D
Note: 8,25/10 (scénario: 7/10 – jeu: 9/10 (Simon est juste impayable en cinglé) – BO: 8/10 – comédie romantique: 9/10)