Hello tout le monde!
Fin de semaine dernière, je me suis enfin posée devant un film de la collection ‘Cinéart’ (comprendre cinéma d’auteur) que j’avais acheté tellement je savais qu’il me plairait.
Un film en chinois, qui se passe en Chine et qui a pour thème le kung-fu…mais pas que.
Une très bonne surprise en tout cas, et cette review est sans spoilers!
The Grandmaster suit les pérégrinations de trois personnages à travers les années troubles de l’invasion de la Chine par les Japonais: Ip Man, maitre kung-fu du Sud et futur professeur de Bruce Lee; Gong Er, jeune héritière de l’un des kung-fu les plus difficiles à maitriser; et La Lame, personnage mystérieux au style méconnu…
Si vous me connaissez bien, vous savez que je suis une grande férue de films de kung-fu. Que ce soit le sublime et incomparable Tigres et Dragons; ou le super kiffant The Forbidden Kingdom, j’adore. Encore plus quand mes stars du genre préférées sont à l’affiche. Jackie Chan étant le plus grand.
Mais ici, c’est bien Ziyi Zhang qui m’a appâtée, elle qui m’avait marquée à vie dans Memoirs of a Geisha et le même Tigres et Dragons.
C’est donc une très belle surprise que la qualité de ce film, incroyablement poétique, très lent mais pas trop, aux accents de fable historique vraiment intéressants. Je ne me suis pas ennuyée une seconde, et ce malgré la lenteur du propos.
Et les scènes de combat mêlant poésie et ralentis sont juste magnifiques.
Surtout que Tony Leung est assez hypnotique comme personne…
En fait, je pense que The Grandmaster restera parmi mes films du genre préférés désormais, même s’il sort totalement du lot en étant totalement différent des autres que j’ai cités.
Je le conseille vivement à tous les fans du genre, mais pas que. Si vous souhaitez vous lancer dans l’aventure, pourquoi pas commencer avec celui-ci? Je ne pense pas que vous serez déçus. ;)
Note: 8/10 (scénario: 8/10 – jeu: 8/10 – BO: 7/10 (le seul « défaut que j’ai pu lui trouver) – kung-fu: 9/10)