Toi le médecin.
Toi qui as étudié le corps humain.
Toi qui soignes le corps humain.
Pour lui donner la guérison.
Du fond de ton hôpital.
Se retrouvent tous les produits chimiques.
Que tu auras inventés.
Pour forcer la guérison du corps.
Prends conscience maintenant.
Qu’aucun de tes médicaments.
Ne peut empêcher une émotion de faire son mal.
Qu’aucune de tes sciences.
Ne peut empêcher un coeur de pleurer.
Tu ne peux forcer la guérison de l’âme.
Prends le temps de fermer les yeux.
Vide ta pharmacie intérieure.
De toutes tes émotions refoulées.
Fais le plein de lumière.
Humblement, avec sincérité.
Prends le temps de bien partager cette lumière.
Offre-la et n’impose pas ta guérison.
Celui à qui elle est destinée saura bien te retrouver.
Extrait du livre Après la pluie… Le beau temps.