du 4 juillet au 5 septembre 2015
Vernissage 4 juillet 2015 de 18h30 à 21h
C'est l'anachronisme de l'animal dans la ville qui a conduit Nicolas Guilbert à s'intéresser aux bêtes. La révélation s'est produite lors de ses nombreux voyages en Inde où éléphants, singes, chiens évoluent tout naturellement au milieu des hommes. Il n'a pas d'animal de compagnie, il aime les hommes et les villes. Nicolas
Entre le premier cliché à l'Instamatic d'une tête de girafe dépassant du toit d'un camion, publié dans la rubrique des lecteurs de Paris-Match et le premier livre, Animaux et cie, rassemblant trente-cinq années de prises de vues, il y a eu toute une vie avec les images. Le dessin, la peinture, l'illustration, la mise en page de livres et la fréquentation des photographes qu'on admire. Lui, n'était pas photographe, il prenait des photos. Sans se vanter. Ici, on n'aime pas les touche-à-tout alors les touche-à-tout autodidactes, vous pensez ! Lire la suite..
Très vite après l'école, l'urgence de travailler, de faire, ressenti presque comme un besoin physique la pousse à demander une place dans l'atelier d'un ami. Elle veut se faire toute petite, discrète. Grâce à ces contraintes d'espace, elle découvre le matériau parfait. Depuis, installée dans le Gers, elle travaille le fil de fer de deux millimètres de diamètre.
Un détail qui est le secret de son travail. Ainsi, elle peut tordre, plier la matière et lui donner une forme simplement en faisant des noeuds. Elle refuse d'utiliser la soudure. Elle ne veut pas du masque, du bruit, de l'odeur qui en découlerait. Cette limite l'oblige à donner une solidité intérieure aux sculptures, une charpente invisible. Il faut que tout s'équilibre. Lire la suite..
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 15h à 19h et sur rendez-vous