On connaît la qualité actuelle des séries télévisées anglaises. Qu'elles soient des saisons complètes ou des mini-séries.
Celle dont je vais vous parler ne fait que 2 épisodes et a le mérite non seulement de condenser le sujet mais également de parfaitement tenir la route. En plus de ça, elle est basée sur une histoire vraie, toutefois dramatisée et étoffée comme les premières images le précisent clairement.
La trame, donc est fondée sur l'histoire authentique de Lord Alec Jeffreys, docteur britannique en génétique, qui découvre la méthode d'identification par l'ADN en 1985. Cette découverte des empreintes génétiques va révolutionner le travail des forces de l'ordre depuis lors et ainsi, pour ce qui nous intéresse ici, servir à résoudre une affaire de tueur ayant défrayé la chronique dans les années 80 en Angleterre. Un travail de fourmis et de longue haleine des policiers, à la limite de l'abandon avant que, à force de persévérance et de tractations politiques et judiciaires, Alec Jeffreys ne mette sa découverte au service de la justice. Justice qui jusque là s'appuyait sur les aveux et/ou les empreintes digitales comme preuves irréfutables.
Le propos n'est pas de savoir si ça réussit, n'importe quel clic sur Google ou
Une belle surprise que je ne peux que conseiller.
Code of a Killer
James Strong
En 1984, Alec Jeffreys révolutionna le travail de la police. Ce généticien britannique développa les techniques d'empreintes génétiques alors qu'il travaillait à l'université de Leicester. Le procédé sera utilisé pour la première fois dans une affaire policière menée par David Baker, qui doit résoudre le viol et le meurtre de deux jeunes filles, Lynda Mann et Dawn Ashworth .