Je viens de tomber par terre en lisant les déclarations du responsable de la CGT Taxis, qui refuse de condamner les violences des taxis contre la concurrence : " La véritable violence vient de cette société américaine qui ne respecte pas les règles. Les chauffeurs se défendent contre une multinationale.[...] La violence d'Uber est plus forte que celle des poings... "
Donc cassons leur la gueule, à eux et aux consommateurs qui font le choix de cette société jugée incorrecte et pipi-caca.
Ce n'est pas une surprise de voir que la CGT est un syndicat qui prône la violence. Ces méthodes délictueuses ont souvent été relayées. Elles sont clairement assumées. Pas évident que la société progresse avec des gens comme ça (mais ce n'est pas leur but à eux, de faire progresser la société...).
Je lisais ce weekend le message anti-taxi posté par un gars sur Facebook. Excellente lettre d'ailleurs, signé du mec à qui un taxi parisien lui a fait payer 70 € pour un Bercy - Trocadéro en 2009. J'ai lu que ce brave homme a aussi reçu des menaces de mort de la part des défenseurs acharnés des taxis...
La dernière fois que j'ai pris un taxi, c'était en Septembre 2012, et je ferai en sorte qu'il n'y ait pas de prochaine fois avant longtemps.
Je garde ce souvenir amer de ce Roissy - Ibis du Bourget aller-retour. Un aller un vendredi soir 20 h, qui m'a couté 40 € (payable uniquement en liquide bien sur...), pour avoir un gars qui m'a en plus laissé au mauvais hôtel. Le retour le lendemain matin tôt, 50 € cette fois, payable aussi uniquement en liquide. En plus, je n'avais pas trouvé les gens très sympathiques, mais ce n'est qu'un jugement personnel. Peut-être aussi le manque de transparence de la prestation ne m'avait pas rendu très avenant...
J'aurais pu louer une voiture pour les quelques heures. Cela m'aurait couté moins cher. J'aurais aimé avoir des alternatives.
Les taxis ont décidé de se défendre par la violence de leurs actions. Soutenus par un syndicat violent et qui utilise l'agressivité et la menace physique, la destruction et le harcèlement pour ses actions. Le consommateur est libre.
En tant que consommateur libre, je ne prendrai plus les taxis. Et c'est très bien comme ça...