On prend toujours autant de plaisir à suivre les aventures du Goon, même si la trame scénaristique avance désormais à pas de fourmi – à peine 1/3 de l’oeuvre consacré au fil rouge, à savoir la guerre du Goon face au Prêtre Zombi. A côté de ça, on continue dans le nawak politiquement incorrect, des caméos de dingue (Tom Waits !), et toujours les techniques artistiques affolantes d’Eric Powell qui manie tout, l’indien (et merci à Delcourt pour les bonuses en pagaille dans leurs parutions !) Bref, vive la bédé indépendante !