Francis Mer dit que la solution à la crise est le capital humain. On peut modéliser le cercle vicieux qu'il cherche à enrayer ainsi. Le contrat social d'après guerre : prospérité contre taylorisme. L'homme comme machine. Puis, après la chute de l'URSS, l'homme devient un coût. On le réduit ou l'élimine. Or, c'est l'homme qui crée. Donc, on a tué la poule aux oeufs d'or. Le capitalisme s'est tiré dans les pieds. Cependant ce raisonnement est qualitatif.
Je soupçonne que la croissance est liée à une explosion créative. C'est ce qui s'est passé plusieurs fois. C'est aussi le modèle de développement de l'entreprise à succès. Cela demande des conditions particulières. Un capital de connaissances, et une forte stimulation, notamment. (Une guerre, par exemple ?) Or, le modèle de Francis Mer me semble proche de celui de l'Asie. Un modèle qui fonctionne par amélioration continue. Plutôt propre à la répartition qu'au changement ?
Donc, mobilisation du capital humain moins propice à la croissance, on en a perdu la recette ?, qu'à l'édification d'une société où l'homme est considéré comme un homme ?
Francis Mer présente sa note : Nouvelle... par fondapol