
Partout ailleurs, la mort intervient de plus en plus tard, sous l’effet du recul de certaines maladies chroniques dans les pays développés (la plupart des cancers ont diminué de 15 % et les maladies cardio-vasculaires de 22 % en vingt-trois ans) et celle des maladies infectieuses dans les pays en développement (maladies diarrhéiques, tuberculose ou pathologies néonatales). La mortalité infantile, en particulier, a quasiment été divisée par deux, passant de 7,6 millions d’enfants de moins de cinq ans morts en 1990 à 3,7 millions en 2013.

