Je suis une citadine. Une vraie de vraie. C'est comme ça, bien ancrée, bien décidée. Pourtant, étant née à Casablanca -en bord de mer-, on ne peut pas dire que j'étais prédestinée à me sentir à l'aise sur les pavés parisiens inondés de mines renfrognées.
Mais voilà, j'aime la ville, son trafic, ses rues qui bougent, ses vitrines qui clignotent. J'ai envie de foule, de bruit, d'overdose de vie, de talons qui claquent sur le bitume. J'ai besoin de morceaux de vie falsifiés, d'endroits azimutés, de nuits tourmentées et de lumières artificielles. J'aime le foisonnement, le palpitant, le trépidant.
Je me suis souvent posée la question suivante : si je devais choisir entre ville et campagne, vers où mon cœur se dirigerait ? Je me suis posée cette question des centaines et des centaines de fois... sans jamais aboutir à une conclusion. J'aime la ville parce que je m'y sens libre. J'ai le choix, libre de faire tout ce que je veux, quand je veux, comme je veux, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Aller au cinéma voir des films avec DiCaprio, manger au McDo, rester à la maison, me faire livrer à peu près tout ce qu'il est possible et imaginable de se faire livrer, rejoindre la nature à quelques encablures, me perdre dans la tourmente urbaine, m'acheter n'importe quoi, sortir dans des endroits improbables, etc.
Pour moi, c'est une forme de liberté.D'un autre côté, j'aime la nature parce qu'elle est vraie, pure, belle et authentique. Je la connaît, la comprend, la respecte. Je sais que je n'aurais besoin de rien d'autre que ce qu'elle pourrait m'offrir. En se tenant éloigné des désirs inutiles, de la futilité et de la frivolité, je me tiendrais éloignée des regrets et des frustrations.
Pour moi, c'est une -autre- forme de liberté.Pour le moment, je pencherais plus vers la ville... Alors bien évidemment, il y a des jours où Paris me saoule, m'agace. Je la déteste. Elle me sort par les yeux. Il y a des jours où j'ai l'impression de l'avoir trop vu, trop bu, trop entendu. Elle m'énerve. Je la trouve grise, triste et avide. Du coup, je m'en vais. Au silence, au calme, au loin. En Picardie, en Afrique, en Asie, sur une plage au soleil, dans mon petit jardin ou tout simplement dans ma zone de confort... En parlant de zone de confort, c'est marrant comme on croit être attaché aux endroits où l'on vit. On croit que chez soi, c'est un lieu bien particulier, une zone de confort qui ne s'improvise pas. Un endroit qui se ressent. La première fois qu'on entre quelque part, on sait, on sent que chez nous, ce sera ici et nulle part ailleurs. On s'y installe, persuadé qu'aucune autre maison n'aurait pu être chez nous à ce point, qu'on n'aurait pas pu vivre les choses aussi intensément, ailleurs.
Ma zone de confort est un endroit où je me sens bien, exactement à ma place. C'est celle qui me manquera quand je partirai en vacances. Celle où je m'endors chaque soir ; parfois dans le calme, parfois dans l'agitation. A vrai dire, tout dépend de mon humeur et de mon état de fatigue. Cette notion de sommeil parfait est devenue si difficile à atteindre qu'on en profite dès que possible.
Sommeil parfait est par ailleurs la nouvelle campagne de Velux, société qui s'investit depuis 1964 dans la réalisation d'un habitat durable, qui concilie performances énergétiques et confort de vie grâce à l'abondance de lumière naturelle et d'air frais. Grâce à ses store occultants, il est désormais possible, de jour comme de nuit, de créer une obscurité parfaite pour les siestes et les nuits estivales. Elle est pas belle la vie ? Pour les acheteurs compulsifs, rendez-vous dès maintenant sur la boutique en ligne.
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✓ Dîner léger au moins 2 heures avant de se coucher
✓ Prendre un bon bain avant de se coucher
✓ Se lever tous les matins à la même heure y compris le week-end
✓ Pratiquer un exercice physique dans la journée
✓ Arrêter le café après 14 heures
✓ Se coucher dès les premiers signes du sommeil
✓ Peindre la chambre avec des couleurs apaisantes
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Et toi, comment décrirais-tu ta zone de confort ?0
Une illuminée de plus dans la nature ! Étudiante de 24 ans en communication et relations presse. Bonne vivante à temps plein et blogueuse à mes heures pas perdues. D'un naturel passionné, je prêche l'épicurisme auprès de mes semblables. Geekette dans l'âme, j'aime traiter de sujets divers et variés. Vive l'éclectisme !