Les « faux chômeurs », c'est-à-dire ceux
qui s'inscrivent à l'ANPE sans vouloir retrouver du travail, ne représentent pas plus de 2 % des demandeurs d'emploi. C'est l'une des nombreuses surprises que réserve l'étude sur les « freins à la
reprise d'emploi », publiée hier par le