En ce début d'année, la polémique enfle. Un vaste mouvement très organisé analyse et critique très fortement les conclusions du GIEC et la thèse du réchauffement climatique.
Un rapport écrit par un panel de scientifiques, tous indépendants du GIEC, vient d'être publié. La principale conclusion de celui-ci démontre que la contribution des émissions de GES au réchauffement actuel est insignifiante. Les principales causes des variations de températures seraient liées à l'activité solaire.
Ces scientifiques s'opposent au soi-disant "consensus" dont notre gouvernement et l'essentiel de notre presse nous abreuve de façon pluri-quotidienne. Ce rapport souligne également à quel point utiliser la pseudo-science du GIEC pour fonder des décisions politiques lourdes de conséquences économiques est dangereux.
On trouvera toujours des moyens de nier l'évidence, et le réchauffement quelles qu'en soient les causes, n'est que l'une des multiples conséquences d'un problème bien plus vaste qu'on ne peut remettre en doute : l'absurdité de notre société de surconsommation et l'urgence d'en sortir.