De l’art qui met l’eau à la bouche: Lenôtre revisite la toile de Jouy

D’abord vos yeux s’arrêteront sur les dessins au coloris pop et acidulés, puis vos pieds vous mènerons vers cet objet mystérieux. Alors votre nez s’emplira des arômes de framboises ,fraise ou abricot qui agiterons vos mains. Piégé, il ne reste plus qu’à s’accaparer farouchement ces pâtisseries . Attention l’addiction sera inévitable.

Au fil des années, la maison Lenôtre est devenue une véritable institution, qui au travers de ses laboratoires, et grâce à ses pâtissiers formés directement dans ses écoles, multiplie l’éventail de son savoir-faire et légitimise sa position d’étendard de la gastronomie française.

Dans la perspective de ce rayonnement, il semble tout naturel de la part de la maison, de fêter le bicentenaire de la disparition de Christophe-Philippe Oberkampf ,qui mis sa manufacture au service de Louis XVI.  Esprit novateur, il popularise les indiennes et crée des imprimés désormais mythique.

Afin de réaliser trois pâtisseries hommages, Lenôtre se lie au designer Hervé Matejewski et l’éditeur de tissus Braquenié et d’un dérivé gustatif, décore les plateaux argentés des salons de thés. Ne vous détrompez pas, tout cela ne relève pas d’une aristocratie désuète: les décors champêtres sont réanimés d’un fluo qui offre une insolence juvénile à ces comptines sucrées.

Disponible à partir du 4 septembre, ces pâtisseries fraîche et légère permettront de finir sur une note à la fois acidulé et douce vos brunchs ensoleillés.  Et avant de les déguster rendez vous à l’exposition bicentenaire d’Oberkampf, qui se déroule du 15 septembre au 27 décembre au musée de la Toile de Jouy à , Jouy-en-Jossas.