Les diabètes sont des maladies qui se traduisent par un dysfonctionnement dans la régulation du taux de glucose sanguin que l’on appelle la glycémie. Si le résultat des diabètes est le même, leur cause est différente si bien que l’on distingue deux types de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2. Mais quels sont les causes de chaque diabète ? Comment réguler sa glycémie ? Comment adapter son alimentation ? Devons-nous nous priver et restreindre drastiquement notre alimentation ?
Le diabète de type 1
Le diabète de type 1 représente 5 à 10% des malades diabétiques. Cette forme de diabète apparait le plus souvent à l’enfance ou adolescence, ce qui lui donna son nom de « diabète juvénile ».
Cette forme de diabète résulte d’une atteinte des fonctions du pancréas. En effet cet organe est formé de cellules qui forment les ilôts de Langerhans, du nom de Paul Langerhans qui en fit la découverte en 1868. Ces îlots sont constitués par des cellules endocrines qui produisent des hormones dont l’insuline. Chez les malades cette insuline est très peu voir plus du tout produite. En temps normal, cette hormone circule dans le sang après sa production, et a pour effet de faire diminuer le taux de sucre dans le sang. Elle agit sur le foie, les muscles et d’autres tissus comme un signal chimique pour que le glucose soit stocké sous forme de glycogène dans le foie, ou utilisé comme carburant énergétique. Cette production d’insuline survient après un repas généralement, ou une hausse de la glycémie.
La très forte baisse ou l’arrêt de la production de l’insuline est le résultat d’une maladie auto-immune qui détruit les cellules du pancréas. Dès lors que 80 à 90% de cellules endocrines sont détruites, les symptômes du diabète apparaissent brutalement et se traduisent par une glycémie constamment élevée, une fatigue, une envie constante d’uriner, une augmentation des sensations de faim et de soif, une perte de poids et une vision floue.
La survie du diabétique dépend de l’injection quotidienne d’insuline, le malade devient insulino-dépendant, si bien que l’on nomme le diabète de type 1 le « diabète juvénile insulino-dépendant ».
En plus de l’injection d’insuline, le malade doit changer ses habitudes alimentaires et suivre un régime prescrit par le médecin. En effet il doit constamment vérifier sa glycémie et manger des aliments sains et équilibrés qui ne feront pas monter en flèches sa glycémie.
Le diabète de type 2
Le diabète de type 2 apparaît chez les adultes ayant généralement plus de quarante ans et de manière progressive. Cette forme de diabète peut se manifester chez les jeunes adultes et les adolescents.
Le malade n’est pas insulino-dépendant, c’est-à-dire que cette forme de diabète n’est pas causée par une baisse ou un arrêt de production de l’insuline. Au contraire le pancréas du malade produit correctement de l’insuline, mais elle ne permet plus d’abaisser le taux de glucose sanguin qui reste constamment élevé. Ce phénomène est dû à une résistance des cellules du foie, des muscles et autres tissus à l’insuline pour une raison inexpliquée. Ces cellules deviennent insensibles à l’insuline, et ne suivent plus l’ordre de stockage ou d’utilisation comme source d’énergie du glucose sanguins donné par cette hormone.
Le surpoids et l’obésité est la principale cause, en effet une surcharge pondérale aboutit à une modification de l’environnement des cellules, l’insuline peut avoir plus de mal à atteindre tout les tissus et organes cibles du fait de la présence de masses graisseuses. En réponse à ceci le pancréas sécrète de plus en plus d’insuline pour permettre la régulation de la glycémie, et finit par dans le temps par se fatiguer et ne produit plus ou très peu d’insuline.
Les symptômes de ce type de diabète se traduisent par une soif constante, une envie fréquente d’uriner, une fatigue, infections fréquentes ( gencives, vessie …), une cicatrisation lente, une vision floue, fourmillement des pieds et des mains, peau sèche, démangeaisons.
Les risques de maladies cardio-vasculaires sont très élevés chez les diabétiques de type 2. De plus on observe fréquemment suite à une prise de sang, une élévation anormale du taux de triglycérides sanguins. De plus ils peuvent souffrir d’hypertension artérielle. Cette maladie peut aboutir à des complications à ne pas prendre à la légère, c’est pourquoi il est important de suivre les indications et conseils de votre médecin pour traiter au mieux votre diabète.
Il est possible de prendre des compléments alimentaires qui aident à baisser le taux de triglycérides sanguins pour prévenir les maladies cardio-vasculaires, bien entendu après un avis éclairé du médecin. Il est important de manger des fruits et légumes riches en anti-oxydants, il est même possible de compléter son alimentation avec des compléments alimentaires riches en anti-oxydants telle que la Vitamine C.
L’index glycémique et diabète
L’indice Glycémique (IG) permet de caractériser les aliments qui font monter rapidement la glycémie. Chaque glucide agit différemment sur la glycémie, par exemple l’absorption de 50 g de glucose par une personne non diabétique et à jeun, se traduit par une augmentation de la glycémie qui atteint un pic au bout d’une heure et revient à la normal ( 1g/l de sang) au bout de 3h et demi. D’autres aliments vont avoir un profil différent si on refait cette même expérience avec d’autres aliments. Par exemple 217g de banane contenant 50g de sucres ( saccharose, fructose, glucose et amidon) provoque une élévation de la glycémie avec un pic atteint au bout d’une heure et demi. On remarque que le pic maximum de taux de glucose sanguin atteint au bout d’un heure et demi avec la banane, est deux fois moins élevé que le pic atteint au bout d’une heure avec 50g de glucose.
L’idée est de favoriser les aliments ayant un IG bas ou modéré pour mieux réguler sa glycémie.
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Ce livre présenté en deux parties, vous explique dans un premier temps ce qu’est l’index glycémique (IG) et en quoi son utilisation est déterminante si l’on veut perdre durablement, puis vous propose dans un second temps des tableaux à plusieurs entrées des Index glycémiques des aliments.
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Les corps gras, quels qu’il soient, sont des triglycérides, c’est-à-dire 3 acides gras fixés à une molécule de glycérine (c’est pourquoi on dit TRI-glycéride).