Exposition Florence Bournonville / Design : regards poétiques sur l’innovation textile | Musée textile Labastide Rouairoux

http://www.penelopee-matiereamemoire.com/ Vernissage samedi 20 juin à 11h.

Du 20 juin au 15 novembre 2015

Performance dansée sur le thème " corps exploité / corps protégé "par la Cie Passe-Velours
> 14h :Table ronde des designers autour de Florence Bournonville sur le thème " Qu'est-ce que le design ? Comment intervient-il dans la création textile ? "
le Musée est un peu loin de Toulouse, alors profitez-en pour passer la journée à Labastide, pendant et après le vernissage l'équipe Pénélopée est là et vous propose de partager votre pique-nique dans le parc du Musée...

Florence Bournonville travaille autour d'un textile rendu hydrophobe par un nouveau procédé bio-sourcé qu'elle transforme en différents " objets ": photographies réalisées avec Stéphane Redon, la création d'un méridienne en partenariat avec le lycée de l'ameublement de Revel (section tapissier d'ameublement), des foulards imprimés... vision poétique, art et design se mêlent pour formuler un récit.
Anke Domaske, Luc Druez, François-Charles Génolini sont les designers invités qui présentent leur travail autour de la matière textile et l'innovation.
Anke Domaske propose une fibre textile aussi douce que la soie conçue à partir des excédents de lait et plus particulièrement de la caséine contenue dans le lait.
Luc Druez utilise les nouvelles technologies au travers de matériaux innovants, un travail de tissage ou tricotage qui fait la part belle au volume et à la lumière en conférant au tissu une valeur sensorielle.
François-Charles Génolini exploite un matériau inattendu comme le béton pour en faire un textile souple et frais proposant une approche innovante sur un matériau qui devient surface textile.
Musée départemental du Textile, rue de la Rive 81270 Labastide-Rouairoux. Tél. : 05 63 98 08 60 Site : musee-textile.tarn.fr

l'exposition s'ouvre également avec une réflexion menée en partenariat avec le FRAC Midi-Pyrénées: 3 oeuvres picturales d'Atsuko Tanaka sont accrochées à l'entrée de l'expo pour rappeler que dans les années 1960, les artistes interrogeaient déjà le design et la pratique industrielle.