Nous montons au sommet par un sentier de pierres Dans une forêt de mélèzes où coule la rivière. Nous savons qu’ils sont là mais ne verrons pas les loups Les bouquetins moins farouches posent à deux pas de nous.
Au sommet, près d’un lac, allons nous restaurer Grand air n’exclut pas que le vin soit partagé ! Le plus jeune d’entre nous sautera dans l’eau gelée
Nous rentrons enrichis d’une douce journée Et de nous amis reverrons volontiers, A condition bien sûr que les chaussures soient réparées !