Depuis des mois, la Carsat ne verse plus certaines retraites ; Celles de nouveaux retraités m celles de personnes dont le dossier est incomplet et qui ne sont pas dûment informés de ce fait. On a beau appeler le 3960, niméro de la carsat, on attend de longues minutes pour entendre que tous les conseillers sont occupés. Quand on parvient à joindre quelqu'un on subit l'affront d'une répone dilatoire:le dossier sera bintôt régle, etc. et les mois passent. Aucun vrai dialogue.
Si certains retraités peuvent écorner leurs économies, les plus pauvres se trouvent dans des situations désastreuses. paticulièrement ceux qui reçoivent le minimum vieillesse, soit 800 euros par mois. La carsat a de facto déclaré la guerre aux humble, une guerre sociale involontaire, certes, mais les résultats sont là.
Les factures de gaz, d'électricités s'accumulent depuis des mois. On se retrouve sans mutuelle : on a du mal à se soigner. Le droit à la santé est bafoué. Il n'y a plus d'assurances. Les comptes bancaires sont clôturés. On est interdit bancaire. Et l'on se nourrit aux restos du cœur. Tele est la réalité. Tandis que des expulsions se produisent : Des retraités se retrouvent en refuges pour n'avoir pas pu,payer leurs logements.Ces gens ont trafaillé toutes leurs vies. Certains, moins solides que d'autres désespèrent, dépriment.Ce qui est souvent agravé par les problèmes de santé. A quand le premier mort ?
La ministre asure que tout sera réglé en septembre. Quand on n'a pas reçu un sou depuis six mois ou plus, c'est méprisant. Odieux. Que cette dame sache que certains ont faim, tout simplement faim. Et ne peuvent pas toujours payer un ticket d'autobus ppur se rendre aux restaurants du cœur. Tandis que,les assitantes sociales sont débordées.
Nous sommes en présence d'une attaque gigantesque aux biens et aux personnes. A l'intégrité des gens. Il faut y ajouter une évrntuele destruction psychologique et morale qui peut, dans certains cas avoir des conséquences irréversibles. Le préjudice est énorme, inouï, inacceptable, révoltant, inhumain. Il s'agit d'une atteinte aux droits de l'homme. Qui doit être jugée comme telle. Que ce soit pas la justice française ou par la Cour Européenne des droits de l'Homme.