Le ministère palestinien des Affaires étrangères a exprimé son profond
regret et dénonciation à la décision du Secrétaire général de
l'Organisation des Nations Unies, Ban Ki-moon, de ne pas inclure
l'occupation sioniste et son armée criminelle sur la "liste noire" des
pays et des groupes qui commettent des violations graves contre les
droits des enfants dans les conflits armés, en faisant valoir que cette
attitude reflète le «biais de l'Assassin et la protection de l'armée
d'occupation et ses criminels, aussi un encouragement pour assurer leur
impunité.
Le ministère a souligné dans un communiqué publié mercredi (10/6),
la nécessité de respecter l'organisation des Nations Unies et de son
rôle et de ses recommandations, notant en même temps que la position de
M. Ban Ki-moon "est différente des attentes et des recommandations
formulées, ce qui s'oppose aux principes des Nations Unies et leurs
missions du maintien de la paix et la sécurité internationales , comme
il représente une trahison de la mémoire des martyrs des enfants et
leurs familles qui ont attendu la justice, même qu'elle soit partielle,
et à favoriser le maintien de l'état de l'occupation avec son terrorisme
systématique et organisé et qui est dirigé par son armée qui a visé et
vise tous les aspects de la vie des personnes et des groupes
palestiniens ", selon le communiqué.
Il a noté que les organisations spécialisées des Nations Unies ont
reconnu dans leur engageant que les autorités occupantes ont commis des
crimes contre les enfants palestiniens, comme elles ont exprimé dans les
rapports mentionnés la même chose sur la nécessité d'inclure l'armée
israélienne sur la "liste noire", et se sont elles mêmes qui ont
également développé les normes de violations des droits d'enfance dans
les conflits armés , notant que l'armée de l'occupation israélienne a
tous commis et le fait couramment depuis 67 ans, et est le meurtrier
d'enfants et a ciblé les écoles, les abris, les hôpitaux et
l'arrestation des enfants.
Le communiqué ajoute: "la position des Nations Unies constitue une
renonciation dangereuse, sans précédent et exposerait la crédibilité et
les principes des Nations Unies à risques professionnels.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères a appelé le
Secrétaire général des Nations Unies à reconsidérer sa décision et de ne
pas transiger sur les principes qui se sont développées sur la base de
l'Organisation des Nations Unies, parce que la mort de 538 enfants, le
ciblage de 340 écoles et centres de santé, en moins de 50 jours, est un
sérieux appel d'infraction pour l'inclusion de l'armée occupante
israélienne sur la liste noire ", selon le communiqué.
La communauté internationale est appelée à trouver des mécanismes
et des solutions pour protéger le peuple palestinien de tous les
groupes, y compris les enfants, et mettre la pression sur les autorités
occupantes israéliennes à cesser leurs violations; "il est temps de
condamner l'occupation et son armée de leur responsabilité de crimes de
guerre, et crimes contre l'humanité, notamment d'inclure sur les listes
de la noirceur, des listes de criminels de guerre et les listes de
terrorisme".
Source : PalInfo