Géoglyphe éphémère
Le souci avec les œuvres surdimensionnées (de type Nazca) c'est que, quand on est trop près, on ne voit rien et quand on est à une certaine distance on n'y voit plus rien. Cette piste d'atterrissage dans le désert sert de fond à un graffiti géant. Il y faut ce making of pour se rendre compte du travail de fourmi. Vu de haut, on pourrait penser à du Photoshop. Total : beaucoup de peinture pour un résultat qui ne peut être que décevant et sans doute très éphémère, la première tempête de sable venue va recouvrir le tout. Reste la performance.