La France a connu, les 7 et 8 janvier 2015, un attentat et deux prises d’otages meurtriers, y compris les trois assassins désignés comme des terroristes par le pouvoir hollandiste, - le Président de la République, François Hollande, son Premier Ministre, Manuel Valls, et son chœur de vierges effarouchées, de pantins de comédie et de clowns d'opérettes, Ministres et Secrétaires d’État qui composent son gouvernement -, les factions politiques politco-politicardes de Gauche et de Droite, et la presse au garde-à-vous, le petit doigt dans la couture, raide comme des piquets et évitant de frémir, même des oreilles, pour ne point se faire mettre au placard, leur emboîtant le pas, mais désignés tout simplement comme des criminels par nombre de citoyens lambda, à qui les pseudo-démocrates oligarches ont confisqué et la République et la Démocratie, des citoyens lambda réalistes et droits dans leurs bottes, qui n'ont aucune honte à appeler un chat un chat et un chien un chien, et à refuser d'entendre et d'ingurgiter qu'un chat est un chien ou vice-versa, qui ont fait 20 morts.
Cet attentat, à l'encontre de Charlie hebdo, et les deux prises d'otage qui en ont découlé, pour les bien-pensants gouvernementaux et tous leurs sbires, qui extrapolent sur les mots, a été une action, perpétrée au « Nom de l'Islam », qui a gravement nui, dans un contexte, par eux, jugé politique et terroriste, aux biens, à la vie d'autrui et, qui plus, à la sûreté même de l'état français comme s'il avait eu pour finalité de changer ou de détruire le pouvoir en place et le gouvernement, et d'exciter les citoyens et les habitants à s'armer contre l'autorité constitutionnelle, à déclencher une guerre civile ou à porter la dévastation, le massacre et le pillage dans une ou sur plusieurs communes, voire sur l'entier territoire de la France, à tel point qu'ils en ont même édicté, d'une part, un acte patriote, ouvert sur l'international en invitant 40 Chefs d’État ou de Gouvernement, accompagnés par plus d'un million et demi d'anonymes, - dixit les médias et les interventions étatales et politico-politicardes de tous bords -, à participer à un défilé le 11 Janvier, « Les marches républicaines » qui enrôlent plus de 4 millions de personnes sur tout le territoire français, qu'ils n'ont pas hésité, d'autre part, à déployer, dans le cadre de « l'opération sentinelle », comme en temps de guerre baptiser les actes opérationnels sur le terrain du conflit, 10.500 militaires pour sécuriser 830 points sensibles, une « opération sentinelle » qui perdure toujours 6 mois après, tout comme si la France était en état de siège, et que les hautes autorités françaises, enfin, profitant de cet état de fait, mettent en place, à l'encontre des français de souche et issus de l'immigration, des lois liberticides et des lois maculées de racisme anti-blanc et anti-français.
Outre le fait que des zones d’ombre, jour après jour, apparaissent dans le déroulé des faits et que l'enquête, soi-disant menée, est totalement au point mort ; que des incohérences et de différences entre les mesures de protection réelles à Charlie Hebdo et les préconisations de la préfecture de police sont flagrantes ; que le dit-attentat a été commis un jour où tout le monde ou presque était réuni à la rédaction de Charlie Hebdo alors que ça n’arrive jamais mais ce jour là, le partage d'une galette des rois était à l'ordre du jour ; que le dit-attentat a été commis spécifiquement ce jour là, alors que le partage de la galette, en fin de réunion, n'avait été prévu que quelques 72 h auparavant ; une aberrance suspecte qui est dénoncée par la propre épouse du défunt, « l'acte de décès de Wolinsky... », l'une des victimes du massacre, « ...a été signé a 11 h 30 alors que les frères Kouachi sont arrivés, à Charlie Hebo, à 11 h 33 », face à une telle conjecture, certaines personnes, souvent non des moindres, la liste de certaines personnalités, certaines d'entre elles socialistes, serait trop fastidieuse pour les énumérer toutes, avaient émis des doutes sur les finalités de l'attentat de Charlie hebdo le 7 Janvier 2015 à tel point que certaine d'entre elles, même, avaient fait état d'opération sous « fausse bannière », ou « sous faux pavillon », parfois désignées sous l'anglicisme « false flag », et d'opération menée avec utilisation des marques de reconnaissance de l'ennemi, dans le cadre d'opérations clandestines. Mais ces personnes là, qui mettaient en doute la version officielle, non jamais été poursuivies en diffamation, elles ont, seulement été accusées de « complotisme »
Contrairement aux bien-pensants gouvernementaux, pour les citoyens lambda réalistes et droits dans leurs bottes, les trois individus, paraissant avoir des liens étroits avec les islamistes-salafistes-wahhabites-djihadistes que certains musulmans, conscients des similitudes qui apparaissent entre les Bâtinis, certes Chiites, et les Djihadistes, salafistes, les uns et les autres s'en référant, en particulier, à la Sourate 57 du Fer, Al-Hadîd, verset 3, « Il est le Premier et le Dernier, l’Apparent et le Bâtin, ou le Caché ; Il est l’Omniscient. » , les uns et les autres, par leur chefs, fondant un état, considèrent comme une bande de brigands et d'égorgeurs des grands chemins et font le parallèle avec la secte de Nizârites, une communauté ismaëlienne, active du XIe jusqu'en 1257, dont les membres étaient, par son chef, Hasan-i Sabbâh, parfois surnommé « le Vieux de la Montagne », fondateur de l’État d’Alamût et initiateur d'une « al-da`wa al-jadîda », conditionnés à tuer, trois individus qui se sont commis, dans la violence d'actes prémédités ou non, pourvus ou non d'un mandat criminel, dans une série de meurtres sommaires, à connotations racistes et sectaristes religionnaires, et empreints d'une barbarie inouïe.
En toute chose, en tant qu'auteurs de crimes crapuleux, les trois individus étaient condamnables pour la cupidité de leurs tueries résultant d'une idéologie prônant le racisme et la supériorité et il n'est nullement à épiloguer, les édiles au plus haut sommet de l’État devraient en donner les raisons ce qui n'est point certain qu'ils s'y hasardent, les forces de l'ordre se justifiant, elles, de la légitime défense, sur la manière dont ils ont été abattus. Et, en toute cohérence, ce drame, avec tout le respect que l’on doit aux morts, à leurs familles et à leurs proches, doit diriger, en toute humilité et en toute lucidité, notre regard de citoyens lambda réalistes et droits nos bottes, les 20 cadavres étant des français, vers les réalités qui y sont liées…
En effet, le système de profit dans lequel évolue la civilisation décadente de l'Ouest, une civilisation qu'au fil des ans ses dirigeants, des oligarches autocrates, ne pensant qu'à leur enrichissement personnel et n'agissant qu'en vertu de ce concept individualiste, égocentriste et despotique, ont pourrie jusqu'à la moelle, a rendu le monde violent, un monde géré, depuis l'après 14-18, et allant crescendo à partir de 1981, François Mitterrand étant à la baguette pour l'interprétation d'une symphonie macabre et déteignant sur tous ses homologues, par des requins menant des politiques hégémoniques visant à accaparer les ressources au bénéfice de quelques uns et laissant le reste du monde dans un état de délabrement permanent ; un monde de mafieux qui a accaparé la démocratie, qui écrit des lois, ne servent nullement l’intérêt du peuple, pour l’élite, de dominants qui, blanchis, par la justice qui leur est redevable, d'exactions coupables et d'ignominies infectes, ne respectent pas les différences culturelles et, pour mieux asservir leurs peuples, pour les esclavager alors que la privation de la liberté des individus devenus, par la volonté de la masse dominante propriété exploitable et négociable comme un bien matériel, est abolie depuis le milieu du XIXe siècle, opposent les identités communautaires et les font dégringoler, avec des aménagements successifs de l'enseignement, dans l'illétrisme ; nn monde dans lequel, au nom des valeurs démocratiques et républicaines, les premiers représentants des nations qui se retranchent derrière un paravent ayant nom ONU, violent constamment les règles de droit international, des règles que ceux qui les édictent et qui ont les moyens de les faire respecter, en sont les premiers transgresseurs.
Le soutien aux dictateurs, aux rebelles et aux fanatiques religieux est monnaie courante de la part des pays occidentaux, avec les États-Unis et, depuis Mai 2012, - initié dès 2010 sous la mandature de Nicolas Sarkozy et galopant sous celle de François Hollande -, la France en figure de proue, dès lors que cela sert leurs intérêts économiques et financiers personnels et ceux de leur cercle d'amis, et tout simplement leurs positions de domination géopolitique.
A suivre...