262 – l’epoque des revolutions est bien revolue.

Nous avons conscience que les thèses défendues sur ce blog sont tellement iconoclastes qu'elles ont peu de chance d'être entendues voire même simplement lues par des esprits " normaux " formés à la science traditionnelle. Quelles sont en effet ces " idées " révolutionnaires dont le simple énoncé apparaît comme une insupportable provocation, le pur délire d'un individu méconnaissant totalement les laborieux acquits d'hommes de science de très grande valeur ?

1) Les étoiles ne naissent pas d'un effondrement d'un nuage interstellaire mais tout autrement.

2) Les planètes ne se forment pas en usant du matériau du disque circumstellaire des étoiles mais tout autrement.

3) Le big bang n'a jamais eu lieu et il n'y a jamais eu de début à l'histoire prétendue de l'univers.

4) Le red schift n'indique pas une fuite des galaxies et l'expansion de l'univers mais manifeste un tout autre phénomène.

5) L'univers n'est pas limité aux 13,7 AL mais infini

6) Les rayons fossiles ne sont pas le souvenir des temps anciens de l'explosion originelle mais résultent d'un tout autre phénomène.

7) La matière noire n'existe pas mais l'accélération des étoiles extérieures aux galaxies ont pour cause un autre phénomène.

8) Les ondes électromagnétiques ne sont pas de la pure énergie mais sont composées d'une substance dont les propriétés sont totalement méconnues.

Voilà, nous pourrions continuer la liste de nos contestations et remises en cause des idées communément admises, nous attaquer par exemple à la charpente même de la relativité qui structure toute la physique d'aujourd'hui.Mais cela est très largement suffisant pour qu'un édit d'excommunication soit émis à l'encontre de l'auteur hérétique de ces lignes. Or, il n'en sera pas ainsi, le silence et l'indifférence ont remplacé les buchers et nous pourrions - dans un certain sens - le déplorer.

Désormais en effet, on ne combat plus l'iconoclaste, on l'ignore puisque le contester revient à en reconnaitre l'existence et le danger qu'il représente. Mais surtout, cela suppose une certaine proximité avec son adversaire, la commune entente d'un espace où l'affrontement pourra se dérouler selon des règles préétablies. Mais si cet adversaire est ailleurs, s'il échappe à toute possibilité d'un débat selon ces lieux et ces règles posées a priori par la science dominante d'aujourd'hui ? Comment par exemple débattre du dogme chrétien si l'adversaire ne reconnait même pas la sainteté voire l'existence et le rôle du Christ ?

Nous en sommes là dans la science actuelle, assurés que nos huit vérités ci-dessus énoncées seront considérées comme autant de propos fantaisistes et sans consistance. Ce qui est sûr aujourd'hui, pour la science physique et pour la transformation de nos sociétés, c'est que l'époque des révolutions est bien révolue.