Cultiver les herbes aromatiques :
La culture : On peu cultiver pratiquement toutes espèces d’herbes aromatiques, que ce soit en terre ou en pots sur le rebord d’une fenêtre. Sur un balcon avec des pots garnie d’herbe aromatique peut être très décoratif en ville. Pour ce faire il suffit de tenir compte des exigences de culture inhérentes a chaque variété avant de les associés dans le même bac, par exemple.
Pour exemple, le romarin, l’origan, le thym et la marjolaine nécessitent une exposition ensoleillée, tandis que le cerfeuil et la menthe préfèrent les situations mi-ombragées et un terrain humide.
La basilic poussera sans problème en intérieur, pourvu qu’il bénéficie de suffisamment de lumière et d’un arrosage régulier.
Les espèces envahissantes, comme l’estragon et la menthe, seront plantées en pots séparés afin d’éviter qu’elles n’étouffe leur voisine.
Les semis les plus simples a réussir sont l’estragon, le persil, la ciboulette et le basilic. Pour ce faire, semez les graines dans un bac large et profond rempli de terre et de terreau mélangés, puis couvrez d’une feuille de plastique transparent et laissez couvert jusqu’à ce que les graines commencent à germer. Quand les plantules sont suffisamment robustes pour être déplacés, éclaircissez le semis, c’est à dire écartez les pousses les unes des autres afin d’éviter qu’elles ne s’étouffe. Si vous choisissez de cultiver des herbes aromatiques en interieur, rappelez-vous qu’elles aiment les ambiances humides. Mettez vos pots dans une soucoupe remplie de petits graviers. En plus de maintenir l’humidité, ce système garantit un bon drainage. L’unique exception à cette règle étant pour le basilic qui à besoin de moins d’humidité pour ce développer. La température idél pour maintenir des plantes en appartement est de 16 à 20°c et il convient d’éviter autant que possible les gros écarts thermiques.
- La récolte :
Les différenrs parties utilisable d’une plante aromatique, qu’il s’agisse d’usage culiniare ou thérapeutique, seront récoltées à différentes périodes de l’année et selon un mode propre à chacune. Pour la récolte, il faut avant toute chose se munir d’un panier en rotin ou en bois afin d’y déposer la plante sans l’abîmer. - Les feuilles :
Elles peuvents êtres récoltées tout au lmong de l’année, en particulier pour les varités telles que le thym, le romarin, le persil, la ciboulette et le cerfeuil. le meilleur moment pour récolter les feuilles, celui ou leur parfum culmine, se situe juste avant la floraison. Eviter de casser ou de plier les feuilles, vous risuquerez de perdre les huiles essentielles volatiles et par conséquent d’appauvrir votre cueillette en parfums et arômes. rappelez vous que la sauge, le thym et le romarin ne doivent pas être affaiblis par les tailles trop fréquentes ou par un prélèvement excessif de feuiulles avant l’hiver, surtout si la plante est jeune. - Les fleurs :
Les herbes aromatiques produisent des fleurs splendides. Pour exemple : la ciboulette, la bourrache, la sauge. Coupez-les lorsqu’elles sont totalement ouvertes et, de même que les feuilles, écartez les fleurs touchées ou abîmées. Une fois récoltées, mettez vos fleurs dans un grand récipient à l’intérieur duquel l’air puisse circuler. - Les graines :
Toutes les plantes, à divers moments de l’année, produisent des fruits à l’intérieur desquels sont contenues des graines. les graines sont récoltées lorsqu’elles sont arrivées à maturité complète. Dans le cas du fenouil sauvage, il faut couper la tige entière avec les fruits et les graines matures, et la placer immédiatement dans un sac en papier ou dans un conteneur adapté, afin d’éviter qu’un simple courant d’air ne fasse s’envoler les graines. Après la récolte, placez les graines dans un local chauffé et bien aéré durant quelques jours afin de les faire sécher complétement. Après quoi vous pourrez les transvaser dans des sachets ou des petits pots de verre que vos n’oublierez pas de munir d’une petite étiquette afin de les identifier plus facilement. Pour une conservation optimale, choisissez des bocaux de verre fumé à fermeture hermétique. - Le séchage :
Depuis des temps ancestraux, on à pour coutume de faire s&écher les plantes ou de les faire macérer dans de l’huile ou du vinaigre afin d’en renforcer l’arôme. L’antique traditions de l’herboristerie nous enseigne que, pour préserver longtemps l’arôme, la couleur et la fraîcheur, il faut ue toute manutention sur la plante se fasse rapidement et avec précision… La méthode le plus souvent employée est le séchage, procédé simple à suivre que nous adopterons nous les néophytes. Commencez par nettoyer soigneusement la plante en vous aidant d’un pionceau zfin d’éliminez la terre et toute trace d’impureté. Formez ensuite plusieurs bouquets que vous suspendrez dans un endroit sec à la température ambiante de 30°c ou plus, afin que les huiles essentielles ne se volatilisent. Entourez les bouquets d’une feuilles de papier, en laissant les tiges à l’air libre. Les feuilles ainsi ne sécheront pas trop, ce qui évitera qu’elles se cassent, et seront protégées de la poussière. Au bout d’une dizaine de jours, les feuilles seront séchées mais pas cassantes, prêtes à être mises en conserve. Détachez alors les feuilles des tiges et placez-les dans un bocal bien fermé. Le jour suivant, vérifier qu’il n’y ait pas de condensation à l’intérieur du récipient, auquel cas vous retirerez les feuilles pour les faire sécher quelques jours de plus sur une grilles dans un local chaud et sec. Pour un séchage plus rapide, vous pouvez comme alternative à l’opération décrite plus haut, mettre les plantes au micro-ondes sur une feuille de papier et faire chauffer à la puissance maximal. Au bout d’une minute, retournez les feuilles et refaites cuire 1 minute. Vérifiez la consistance des feuilles et au besoin, refaites cuire jusqu’à ce qu’elles soient séches. Les feuilles séchées doivent avoir la consistance d’une feuille de papier sans être cassante.