Date de parution : 10/04/2015
Éditeur : Gallimard (Éditions)
Collection : Blanche
ISBN : 978-2-07-014908-7
EAN : 9782070149087
Format : Grand Format
Présentation : Dos carré collé
Nb. de pages : 124 pages
Poids : 0.18 Kg
Dimensions : 14,0 cm × 20,5 cm × 1,1 cm
Prix: 13.50€
Note: 5/5
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Quatrième de couverture:
Le narrateur, à la demande d'une psychiatre, raconte les événements qui, en l'espace de cinq jours, ont dévasté sa vie. Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d'organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s'installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d'un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d'Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d'une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu'à la dernière ligne, le lecteur hésite entre l'empathie, la révolte et l'effroi.
Un roman qui surprend!!!
Le narrateur est un homme banal. C'est un vendeur en téléphonie mobile. Il a une vie normale, a un physique normal bref c'est un français lambda de classe moyenne. Un jour, il reçoit un appel: son père vient de décéder, il doit récupérer les effets personnels de ce dernier.
Parmi ces objets, se trouve la clé de la cave.
Le narrateur n'a jamais eu le droit de s'y rendre. Peut-être Est-ce parce que son père y entreposait de grands crus. Comme tous les enfants, l'un de ses premiers réflexes va être de s'y rendre...
C'est là que le récit et la vie du narrateur bascule...
Un roman que j'ai eu la très bonne idée de lire dans mon lit le soir... J'ai été tellement cueillie que 'en ai été quitte pour le lire jusqu'au bout tant mes nerfs n'auraient pas pu tenir sans savoir, sans connaître le dénouement.
J'ai été complètement prise au piège de cette lecture. J'ai aimé l'écriture, la tension du roman, la simplicité de la construction. C'est un court roman (124 pages!)mais qui est incroyablement dense. Rien de superflu pour autant, pas de phrases alambiquées, tout est très subtil, rien n'est pompeux.
Un vrai régal!!!