François Bugingo.
Svp.
Grow up.
"Victime d'un lynchage médiatique"?
Un "lynchage" implique une injustice. La SEULE injustice dans les cas exposé la semaine dernière où on démontrait que le journaliste avait inventé quelques reportages à plusieurs reprises a été fait envers la profession qu'il exerce: LE JOURNALISME.
Voilà une profession qui en général, n'a pas nécessairement la cote publique. Les étudiants ne les aiment pas les journalistes. Plusieurs n'aiment pas les journalistes qui se croient investis de la mission de changer le monde. Les journalistes, sous le nom de "Médias" se classent 22ème sur 22 dans les métiers récemment sondés à la radio en terme de popularité. Derrière les politiciens.
Et le "public Québécois" que croyait servir le coeur sur la main, public que François-la-victime aurait peut-être jugé un peu trop naïf, n'aurait pas le droit de dire "ben là lui, il ne faut plus le croire!"?
Et il n'était pas du devoir des journaliste de parler de l'imposture qui ternissait drôlement leur profession?
François est passé aux aveux et a parlé de "quelques erreurs de jugement".
Il a aussi dit qu'il se considère victime d'un lynchage médiatique, ses erreurs de jugement sont passées de lac à Fleuve et maintenant à Océan.
François Bugingo se noie dedans.
Ses erreurs de jugement se nomment maintenant "lynchage médiatique"
Je m'arrête ici, sinon ça commencera à ressemble à du lynchage.
Et je suis nettement plus sage.
On a tous le droit de préférer la plage.
Les traces sont visibles avant que la mer ne les efface.
Voyons voir si son retrait de la vie médiatique sera efficace.