Cette étude porte sur les données de la Dallas Heart Study (DHS), dans laquelle une cohorte multiethnique de 1835 sujets âgés de 18 à 65 ans a été suivie pendant 7 ans. Le statut socioéconomique d’un quartier a été évalué par l’indice NDI (Neighborhood Deprivation Index). Pendant la période analysée, il y a eu 263 déménagements vers un quartier moins favorisé.Une prise de poids… qui continue !
Marqueurs de stress
Parmi les explications avancées, les auteurs expliquent que certains marqueurs biologiques (e.a. cortisol et protéine C réactive), activés notamment par le stress chronique, ont été associés à l’exposition à un endroit défavorisé. Cela pourrait activer ou altérer des voies neurologiques qui conduisent finalement à une prise de poids. Ils appellent néanmoins à poursuivre les recherches pour mieux comprendre le phénomène observé.
Référence : Powell-Wiley T M et al, Am J Prev Med, Published ahead of print May 8, 2015A lireOBÉSITÉ: Quelles mesures pour rendre l’environnement moins obésogène ?
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