Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau

Par Apollinee

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" In der kleinen pension an der Riviera, wo ich damals, zehn Jahre vor dem Kriege, wohnte, eine heftige Diskussion an unserem Tische ausgebrechen, die unvermutet zu rabiater Auseinander setzung, ja sogar zu Gehässigkeit und Beleidigung auszuarten drohte. »

 Ains-Incipit la célèbre nouvelle  de Stefan Zweig, dans sa langue d'écriture...

Je ne puis en poursuivre la lecture, faute d'une pratique de la langue de Goethe, ni rester insensible à sa musicalité....

Bonne Princesse, je vous en livre la traduction et vous engage à re-visiter l'oeuvre,  forte d'une nouvelle traduction opérée par Olivier Le Lay, pour la collection folio bilingue.

 "Dans la petite pension de la Riviera où, dix ans avant la guerre, je logeais alors, une vive discussion s’était engagée à notre table, qui menaça soudain de dégénérer en affrontement violent et s’accompagna même de paroles haineuses et outrageantes. "

Vingt-quatre heures de la vie d’une femme , Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau  Stefan Zweig, nouvelle, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay, Edition de Jean- Pierre Lefebvre. Folio Bilingue n° 192, février 2015,  208 pp