- La débâcle. (Avec crise mondiale à la clé ?)
- Qui ne tue pas renforce. L'Europe actuelle est un projet anglais. C'est l'Angleterre qui a voulu faire de l'Europe un marché, pour bloquer sa consolidation. Mais aussi pour renforcer le camp anglo-saxon, en lui attachant solidement l'Europe de l'Est et la Turquie, et en affaiblissant ses ennemis, notamment la Russie. Ce qui semble en cause, aujourd'hui, est ce modèle. Cela pourrait produire un noyau européen fort, qui ne serait plus associé aux arrières-pensées anglo-saxonnes. Et pacifier les relations de cette Europe noyau avec ses voisins.
L'Angleterre et la Grèce, suivis de la Hongrie et de la Suède pourraient quitter l'Europe. Début de la fin, se demande Jean Quatremer ? Il y a, comme il le dit, deux scénarios particulièrement évidents :