Petit rappel : Al Kibar, le site présumé du réacteur, situé dans le désert du Nord-Ouest syrien, avait été détruit par l’aviation israélienne au cours d’un raid opéré en septembre dernier. Mais depuis, la Syrie dément tout projet nucléaire militaire secret. Et jusqu’ici, les demandes répétées de l’AIEA visant à accéder aux lieux en question étaient restées sans réponse.
Damas, dont la seule installation nucléaire déclarée est un réacteur de recherche de modèle ancien placé sous l'inspection de l'AIEA, affirme que le raid israélien visait un bâtiment militaire désaffecté sans liens avec le secteur nucléaire.