Oui, j’en ai gros sur le cœur, je suis peinée. Mon fils oublier la fête des mères !
- Je vais faire le gros dos, faire semblant de ne pas m’en être aperçue.
- Heureusement, le gros de la troupe, le plus grand nombre de mes enfants y a pensé.
- Et puis je te vois venir de loin gros comme une maison.
- Demain tu vas jouer les gros bras, les gros durs, t’en souvenir et me dire que ce n’est qu’une fête commerciale, sans réelle importance.
- Mais tu n’en seras pas plus avancé pour ça. Tu seras Gros-Jean comme devant. Même si je te pardonne d’avance, les mères c’est comme ça, il restera toujours une petite cicatrice un peu sensible.