L'article Maglia ombrelli a été publié sur le site MILANESE SPECIAL SELECTION par Laurent Le Cam.
J’ai déjà eu l’occasion de dire ici tout le bien que je pense des parapluies Maglia et de celui qui les incarne à merveille, le flamboyant Francesco, authentique gentleman (et Dieu sait que, sous ma plume, ce mot n’est pas usurpé). Ayant un peu de suite dans les idées, j’ai décidé aujourd’hui de convier les lecteurs de Milanese Special Selection à une visite de l’atelier où sont construits, fabriqués, confectionnés, emballés, avant d’être expédiés aux quatre coins du monde, les précieux pébrocs, pépins, riflards, ou quel que soit le nom qu’on leur donne.
Parce que la qualité n’a pas seulement un prix, elle a aussi un coût…
Dans l’atelier de Francesco Maglia
Toutes les essences de bois, toutes les teintes ou presque sont disponibles, toutes les cornes possibles et imaginables, les garnitures en cuir, box-calf, exotique, imprimé, tressé.
D’abord, on perce un trou. Puis on fixe la pièce destinée à faire office de ressort.
Le choix de tissus est pléthorique. Deux grands classeurs contiennent les échantillons de l’ensemble des références en stock à l’atelier, sachant qu’il est également possible de commander, sous réserve de quantités suffisantes, un tissu au dessin entièrement personnalisé.
La preuve par l’exemple.
Une magnifique balance d’époque.
Ces deux modèles déjà emballés iront grossir le lot d’une commande pragoise.
L’arbre généalogique de la famille, côté Maglia.
Tiens, on dirait que des confrères japonais ont eu la même idée que moi !
Les femmes ne sont pas oubliées. Les ombrelles aussi valent le détour.
Même le coussin du fauteuil est brodé de parapluies.
Un petit dernier pour la route. La météo a prévu de la pluie…
L'article Maglia ombrelli a été publié sur le site MILANESE SPECIAL SELECTION par Laurent Le Cam.